Nous avons dû racheter une tablette Wacom car leur service après-vente était trop pourri.
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"Bien qu'inspiré de faits réels, ce récit est purement fictif, et toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite."

Et un chat. 
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Romain Dessin-bd - il y a 9 ans

Qualité ou quantité. Toujours

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Jennifer Parpette - il y a 9 ans

Bob la tablette 😬

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Stéphanie Lespérance - il y a 9 ans

Ou comment faire des économies à la petite semaines, au lieu d'avoir du matériel de secours. Qu'est-ce que j'ai en horreur cette vision de l'entreprenariat qui fait fuir les meilleurs éléments d'une boite (je suis colère)

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Elodie Chalmette - il y a 9 ans

If you pay peanuts, you get monkeys.

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Paladin - il y a 9 ans

Ça se loue pas ?
Sinon avoir du matos de secours c'est un luxe.
Sinon il faut un peu des deux, tu peux faire un produit génial sans marketing il se remarquera pas. Mais si tu n'as que le marketing il ne se vendra pas longtemps.

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Adeline Lothindil Duterre - il y a 9 ans

la problématique qualité vs rentabilité...

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lelic - il y a 9 ans

penser produit, c'est ma philosophie d'Apple, ça.

Mais Apple est pionnier sur son marché, sa marque est connue, il y a beaucoup de contenu technologique.

Boulax démarre, et est très concurrencé.

Une question cependant : Boulax était-il pris à la gorge financièrement au moment du lancement du jeu ?

Si tel n'était pas le cas, le lancement en quatrième vitesse est une erreur.

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Max - il y a 9 ans

Apple vend des produits bien finis d'un point de vue hardware/OS, par contre il est encore au milieu du gué du point de vue des softwares. Il n'a pas su s'imposer sur ce marché malgré son influence et la forte pénétration de ses produits sur le marché.

Apple fait d'autre part beaucoup de marketing, les campagnes de pub sont très travaillées et fréquentes, les lancements sont calculés pour avoir un impact médiatique maximum, et a beaucoup étudié le marché et son image de marque pour vendre des produits avec une image (et un prix) associé au luxe.

La force d'Apple, plus que leurs produits, c'est le marketing.

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Peleshet - il y a 9 ans

Après "se vendre tout seul" ça peut être compliqué sans marketing. C'est plutôt si le coût marketing empiète sur la qualité du produit qui est dommageable.

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Raphaëlle Goodlove-Viallet - il y a 9 ans

Moi je suis d'accord avec le Hibou pour la vente d'un produit. Mais faut savoir que ce n'est pas QUE de la faute de ceux qui pensent rentabilité que cela ne se passe pas comme ça. La clientèle a sa responsabilité. Par exemple les vêtements : un beau tshirt de qualité, solide, de confection éthique, coûte plus cher au consommateur. Pourtant celui ci s'en fout de la qualité, il continue d'acheter chez les grands groupes qui produisent au Bangladesh à moindre frais dans des conditions scandaleuses ! 😞 Faudrait éduquer et les consommateurs et les producteurs (pour que tout le monde pensent comme vous ❤ )

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Jérémy Emilie - il y a 9 ans

ah punaise, ça sent pas bon pour la suite...

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Boris Bürli - il y a 9 ans

Moi je l'aime bien Joffrey avec son t-shirt de foot de beauf :D

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S. - il y a 9 ans

Belle métaphore.

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Balbylon - il y a 9 ans

Bonjour la logique.
Boulax a besoin de tes dessins donc te fournis une tablette mais la retire ensuite pour te faire utiliser ton propre matériel.
Ce qui veut dire que ton matériel personnel est utilisé par Boulax.
En France, c'est illégal.
Donc, ils devraient au minimum t'indemniser l'usage.

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Maéva Magarinos - il y a 9 ans

J'ai vraiment du mal à comprendre un tel déséquilibre entre les différents co-fondateurs, pourquoi Adrien et toi vous sacrifiez tandis que Luc et Joffrey se payent plus que bien et vont au restaurant aux frais de Pixowl...

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Olivier - il y a 9 ans

Je pense (et donc j'ai raison ^^) que vous avez tous tort et raison.

Il faut faire un bon produit oui. Un bon marketing est utile (même si ça peut être un bête truc viral qui ne coûte rien)...

Mais même avec les deux ensemble, il suffit que "le monde ne soit pas prêt" (ça fait très pompeux) pour que ça ne marche pas...
Ou d'un manque de chance.

La consommation est un monde cruel.

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Thibault - il y a 9 ans

Milles fois d'accord, il suffit de voir comment les PDA se sont faits marcher dessus par les smartphones alors qu'ils disposaient des mêmes fonctionnalités.

Et pour le marketing, on a l'exemple du jukebox d'archos qui est passé inaperçu alors qu'il est sorti bien avant le 1ier iPod.

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FX - il y a 9 ans

Ah ? Tiens... Au temps pour moi (pour la tablette, je veux dire).

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Minui Pile - il y a 9 ans

En réalité les deux sont aussi importants l'un que l'autre. J'ai connu des applis terribles qui ne se sont pas vendus parce qu'ils ont négligés le marketing. Et sont resté des gadgets peu connus. A l'inverse des produits de merde qui sont encensés parce que le marketing derrière était irréprochable. Et enfin nous avons quand même des histoires telles que Angry Birds ou Candy Crush Saga qui défrayent la chronique avec une appli toute simple donc pas difficile de sortir en tant que produit stable et un gros marketing derrière.

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FastocheLaPoloche - il y a 9 ans

Les deux aspects sont effectivement visibles tous les jours dans la société... Le premier se sont des produits qui durent des années, le second ce sont tous les effets de mode qui enrichissent rapidement les vendeurs mais qui les obligent à se renouveler... victimes de ce système de consommation.
Pour notre planète et pour l'environnement, il va sans dire que la qualité devrait être la priorité... et ça serait, en plus, un argument de vente et de marketing excellent. ^^

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Evhell - il y a 9 ans

Ils auraient pu la garder pour que Laurel bosse avec le matos de l'entreprise, et non pas avec son matériel personnel...
Ou si quelqu'un d'autre en a besoin dans la boîte, ça pourrait arriver !

Sinon, magnifique, ce chat et son fauteuil ! J'aime beaucoup la texture.

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Laure Richard - il y a 9 ans

J'adore la gueule des tablettes :D

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Johanna Offner - il y a 9 ans

Le bouche à oreille c'est du marketing aussi. Tu as beau faire de la pub vantant les mérites incroyables de ton produit, si les gens qui l'ont testé disent que c'est de la merde, c'est que c'est de la merde.

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Éric de Berranger - il y a 9 ans

Belle connerie que de revendre la seconde... Si c'est pour en acheter encore une lors d'une prochaine panne...

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ND - il y a 9 ans

Soit c'est la qualité et le respect des salariés mais les patrons voyous (Joffrey en est un pour moi) vont dire que ça coûte trop cher, soit c'est la rentabilité à outrance QUI NE PROFITE VRAIMENT QU'AU PATRONAT (!!!) et là je pense que c'est tellement devenu banal qu'on connait la musique (et ses conséquences salariales et sociales)...

Mais merde! Je suis sûr qu'il y a moyen de trouver un équilibre dans tout ça. Mais encore faut-il que les patrons acceptent ledit équilibre, ce qui n'arrive (presque) jamais ! (Et comme par hasard Joffrey veut réduire les coûts mais quand-même avoir une part du lion, ben voyons... Franchement faut un calme olympien et 400% de self-control pour pas se révolter quand-même!)

Mais continuez à défendre votre bifteck, Laurel et Ad, pour moi c'est vos persos qui ont raison quant aux bonnes décisions à prendre.

Sinon, j'adore le chat sur le fauteuil ^^ . J'ai l'impression que le chat et le fauteuil (sans les fanions) ont été dessinés sur papier et scannés après (comme au bon vieux temps!). Je me trompe ?

Bon courage pour vos projets! :-)

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pseudodopode - il y a 9 ans

Le cas de Joffrey et de Luc n'est absolument pas symptomatique du "patronat" que vous dénoncez (il y a des bons et des mauvais cordonniers...).

Il y a une chose que les "bouffeurs de patrons" n'ont pas en tête c'est la notion de risque. Dans une boîte, un salarié ne risque "que" de perdre son emploi, alors que le patron risque de perdre son emploi ET tout l'argent qu'il a pu investir dedans !

Il est donc normal qu'un employeur possédant sa boîte se rémunère au niveau du risque qu'il estime prendre. Si l'employé n'est pas d'accord, libre à lui de ne pas accepter le contrat de travail de cette boîte ou à en démissionner s'il estime ne pas être rémunéré à sa juste valeur. Et réciproquement si le patron abuse de sa position pour se sur-rémunérer, cela aura une répercussion sur sa boîte (bilan négatif, fuite des meilleurs éléments...).

La question à se poser ici est : quel est le risque de chacun ? Cad, qu'a investi réellement et personnellement Joffrey dans cette boîte par rapport à des investisseurs extérieurs ? Est-il caution personnelle et solidaire de Boulax ? Luc, Adrien et Laurel le sont-ils aussi ?

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dqgfs - il y a 9 ans

Si je comprends bien votre position, le patron prend plus de risques (C'est loin d'être systématique, mais admettons.) donc il se rémunère à la hauteur du risque qu'il considère prendre, et si l'employé n'est pas content, il n'a qu'à se casser ?

Il faut avoir une vision bien simpliste pour s'imaginer que l'employé a le luxe de se casser dès que la situation lui parait injuste. Ca arrive. Pour certains. Très qualifiés et dans des secteurs qui recrutent. Mais c'est une situation rare. Dans la conjoncture, le rapport de force est plutôt : "ça ne te convient pas ? Ta gueule, sois content d'avoir un job, et ne prétend pas critiquer les patrons en plus, ce serait ingrat <3"

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ND - il y a 9 ans

"Dans une boîte, un salarié ne risque "que" de perdre son emploi, alors que le patron risque de perdre son emploi ET tout l'argent qu'il a pu investir dedans ! "

Ah! Parce que selon vous c'est pas très grave qu'un salarié perde son emploi ? Je vous signale quand-même que le personnage de Laurel, par exemple, a pris des risques aussi et a sacrifié beaucoup de ses économies pour partir aux US ne sachant pas du tout si le retour sur investissement escompté ou les bons salaires auront lieu.

Désolé, mais la vraie question c'est : le patron est-il capable de faire preuve de solidarité avec son équipe pour ne pas faire couler la boite en période de crise ? Et aussi, a-t-il les dents trop longues qui forent du pétrole au point de piquer tout le capital de l'entreprise pour son propre enrichissement en invoquant ladite prise de risques pour justifier cette fin, et par la même faire taire les salariés avec cet argument ?

"Et réciproquement si le patron abuse de sa position pour se sur-rémunérer, cela aura une répercussion sur sa boîte"

Peut-être, mais dans ce cas, on le sait tous, c'est d'abord pour la gueule du patron, et les salariés s'il reste du fric ou un reliquat de considération humaine de la part du chef. Permettez-moi de douter de ce dernier point (pour rester poli).

Et enfin, non, je ne suis pas un "bouffeur de patron" comme vous dites (d'ailleurs j'ai moi-même l'ambition d'être un petit patron), juste un partisan de la justice sociale. Vous ne m'enlèverez pas du crâne que concilier acquis sociaux et performance économique, c'est possible. Mais pour ça, faut faire barrage à l'évasion fiscale et au "terrorisme bancaire" notamment. C'est-à-dire en gros refuser de se faire enfumer et spolier par les "commissions" comme disent les banquiers ou encore de se coincer avec un crédit non-remboursable d'avance (mais que ces salauds omettent élégamment de vous dire parce que ça fait leur beurre, vous voyez).

Votre réponse fut néanmoins intéressante, effectivement beaucoup de nos concitoyens n'ont pas conscience de ce qu'est le risque de l'entreprise. Et oui, j'entends bien que, comme partout, il y a des mauvais et des bons.

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pseudodopode - il y a 9 ans

Je le répète, le patron-voyou-Joffrey est plus rare que le patron-vertueux.

Rappelons qu'en France, le salarié est surprotégé par la loi (un cdi est difficilement cassable sans réelle justification et cela coûte très cher, ne parlons pas des cdd), travaille 35 heures par semaine, a droit au chômage, aux congés payés, n'a pas de jour de carence s'il est fonctionnaire et 3 s'il ne l'est pas... La patron lui, est un TNS, n'a pas de protection contre la perte de son emploi, n'a pas droit au chômage ni aux congés payés, a 7 jours de carence en cas de maladie et il n'est pas rare qu'il travaille plus de 50 heures par semaine...

Quant au "tout pour la gueule du patron et le reliquat aux employés" en cas de crise c'est plutôt l'inverse, l'employé a son revenu garanti par contrat, pas l'employeur.

En France, 2,5 millions d'entreprises n'ont pas de salariés, 1 millions d'entreprises et de sociétés ont entre 1 et 9 salariés. Celles de plus de 10 salariés ne représentent que 200 000 unités (et encore 170 000 ont moins de 49 salariés). La taille de ces structures impose généralement de la part de l'employeur une empathie naturelle envers ses employés beaucoup plus efficace qu'une prétendue "justice sociale" imposée par des parlementaires qui n'ont jamais créé d'entreprise ! Si un gérant de magasin malmène ses vendeurs, on peut douter de l'efficacité à la vente qu'ils prodigueront en retour. Malmener ses employés, surtout en temps de crise, n'est PAS dans l'intérêt du patron de PME.

Les abus sont plus généralement présents dans les grandes entreprises, qui ont le pouvoir de faire du lobbying auprès des politiciens et ses derniers y retrouvent souvent leur compte. Le "terrorisme bancaire" dont vous parlez est le fruit de la connivence entre grand patrons adeptes du pantouflage et parlementaires véreux qui les bénissent. En surréglementant et en voulant absolument réguler les marchés, les politiciens cherchent en fait leur propre intérêt, pas ceux des électeurs.

Et je ne parlerais pas de la double taxation des patrons (le bénéfice, avant d'être soumis à l'IR est passé sous la moulinette castratrice des 33% de taux de l'IS...) et du monopole illégal et inefficace de la sécurité sociale (coût prohibitif de l'Urssaf, du RSI et autres caisses de sécu pour un fonctionnement bancal de la protection social) générant des charges extrêmement lourdes pour les entreprises (un salaire net payé 100 à un salarié coûte 225 à l'entreprise...).

Alors oui, quand on sait qu'il est bien plus facile de devenir et de rester salarié que patron en France, j'estime que le patron a le droit d'être rémunéré au risque et à l'effort investi.

Le problème d'Adrien et de Laurel tient de leur manque d'expérience du monde de l'entreprise plus que de l'appétit de Joffrey. Laurel l'a reconnu elle-même !

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ND - il y a 9 ans

"Rappelons qu'en France, le salarié est surprotégé par la loi"

Ah bon ??? Alors là prouvez-moi ceci, parce que j'ai pas l'impression que les licenciés secs de Continental à Clairoix ou PSA Aulnay (et j'en passe parce que la liste est malheureusement longue) ont ce sentiment. Alors je sais, vous allez me dire que le motif dudit licenciement était purement économique (argument peu recevable quand on sait que l'action boursière ou le profit du/des patron(s) n'avait pas baissé) et que ce sont les syndicalistes qui n'ont pas voulu faire de concessions. Mouais... mais bon, admettons.

Mais alors que faudrait-il faire ? Accepter les "capitaux" des américains comme Maurice Taylor (le PDG de Titan International) qui prétendent faire redémarrer l'activité économique alors qu'ils n'ont en réalité pour seul but que de piller la trésorerie des entreprises au bord de la faillite (comme Catalina avec Thomé-Génot dans les Ardennes françaises) ?

Eh bien voyez-vous ce n'est pas l'idée que je me fait d'un sain système de fonctionnement pour l'économie nationale de France.

"(un salaire net payé 100 à un salarié coûte 225 à l'entreprise...)."
Si cette donnée-là est effectivement vraie, alors c'est que la France est au bord de la guerre civile contre toute la classe politique qui s'en fout grassement plein les fouilles sur la destruction des emplois. Et bien sûr celà ne serait absolument pas normal.

"le patron a le droit d'être rémunéré au risque et à l'effort investi."
Vous touchez à un point très sensible : qu'entendez-vous par "effort" ? Est-ce un effort colossal que de voir charbonner les salariés tout en bas de l'organigramme (en les menaçant au passage de les licencier pour des motifs injustes) ?

Ce débat m'intéresse beaucoup, c'est pourquoi j'ai pris plaisir à lire votre réponse.

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pseudodopode - il y a 9 ans

"(un salaire net payé 100 à un salarié coûte 225 à l'entreprise...)."
Si cette donnée-là est effectivement vraie, alors c'est que la France est au bord de la guerre civile

Votre commentaire montre bien votre très mauvaise connaissance du monde de l'entreprise et du droit du travail :

vous trouverez sur ce site une estimation (que j'estime à la baisse, ajoutez la mutuelle obligatoire surtaxée par l'état, l'augmentation récurrente de la CSG et CRDS sur lesquelles vous payez des impôts supplémentaires, et les cotisations santé, chômage et retraites en hausse constante) l'estimation minimale :
1 euro de salaire net = 0,82 euro de cotisations... donc 1 euro versé à l'employé = 1,82 euros payés par l'employeur

http://www.expert-comptable-tpe.fr/posts/view/charges-sociales-montant-salaire

"effort" :

fait pour le patron d'une boulangerie - employant 2 ou 3 vendeurs ou apprenti travaillant 35h/semaines comme le veut la loi - de travailler 50 heures/semaines pour ne pas forcément être vraiment mieux payés qu'eux malgré les 100 000 euros investis (bail et fond de commerce, loyers, étals, pétrin, matériel divers)

fait pour le patron d'une PME du BTP de 15 ouvriers de travailler 55 à 60 heures/semaines quand ses ouvriers en travaillent 35, de gérer tous les aspects administratifs, la clientèle, la prospection commerciale, les emm... et autres, ainsi que les 400 000 euros investis pour l'achat d'un local industriel, les 10 000 euros annuels de location de la flotte de véhicules d'entreprise, les 50 000 euros de matériel divers...

dois-je continuer ?

Ce qui est remarquable c'est que les entreprises que vous vous citez sont des entreprises qui travaillent main dans la main avec les politiciens, les représentants "zélus" des communautés de communes (des "zélus" indirects, personne n'a jamais voté pour eux), les "zélus" du conseil départemental ou régional, les "zélus" parlementaires de l'assemblée nationale... et autres "zélus", très "zélotes" pour défendre lois et réglementations défendant leurs intérêts et ceux de leurs copains des "grosses boîtes"... Que n'a-t-on vu des politiciens de tout bord courir ventre à terre pour défendre Florange, Continental et autre, récompensant les leaders syndicaux de leur présence médiatique tout en méprisant les simples ouvriers ?

Ce que vous dénoncez n'est pas le capitalisme - fruit des libertés individuelles et du droit de propriété privé cad du libéralisme - mais le capitalisme de connivence - fruit du socialisme, du conservatisme et de la mainmise de l'état sur le marché privé !

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ND - il y a 9 ans

Euh...je répondais à pseudodopode.

Et je suis d'accord avec dqgfs sur l'état de fait que "bosse et ferme ta gueule car y en a plein qui n'ont pas de boulot", moi j'appelle ça le "terrorisme patronal".

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Arnaud - il y a 9 ans

Dans une petite entreprise, je peux comprendre le point de vue du "patron qui prend des risques". Bon après, il en prend autant que les employés qui acceptent de venir.

Par contre dans 99% des grosses entreprises actuelles, le patron n'est qu'une marionette qui n'a rien créé de sa main et dont le seul risque est de recevoir un parachute dorée en cas de grosse erreur de gestion...

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adricube - il y a 9 ans

je vais dire comme tout le monde, s'il y avait une recette parfait pour vendre tout le monde serait riche ! hors il y a des produits géniaux top qualité qui sont des échecs, et des produits quelconques qui génèrent des fortunes. Toutefois, même si un produit est de basse qualité il me semble que son premier devoir est de fonctionner ! Typiquement sur un jeu, à la limite on s'en fout un peu que les dessins soient jolis (désolé Laurel !) si on ne peut pas y jouer sans plantage, bug, etc. Quant à limiter les coûts, c'est du bon sens, mais ça doit se faire de manière réfléchie : mieux dépenser plutôt que moins dépenser !

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Marine's blog - il y a 9 ans

La Cintiq qui tombe en panne... Ma hantise! >_<

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JB7756 - il y a 9 ans

Les deux ont tort. Il ne suffit pas de faire un bon produit pour qu’il se vende seul à part quelques rares cas de produit géniaux (mais ça tient de la loterie). Mais penser qu’un max de marketing suffit à vendre un produit vite torché est aussi naïf. En plus de ça, les moyens de Boulax sont très limités.
Quand on voit qu’on fait maintenant de la pub TV pour des jeux sur mobile. Il se peut qu’il y ait une énorme bulle sur ce secteur qui éclatera quand trop de pertes auront été constatées.

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Syborg - il y a 9 ans

Même si un produit est excellent, il faut tout de même arriver à convaincre sa clientèle que le produit l'est en effet. A l'inverse, certains marketeux arrivent à vendre du vent avec de belles paroles...

C'est aussi là qu'on voit la différence entre les "pisseurs de code" qui veulent juste finir/bâcler le travail très vite, qu'importe la qualité, pourvu que le client soit assez satisfait pour payer ; et ceux qui pensent "service/produit de qualité, pleine satisfaction du client". J'ai connu 2 personnes dans ces deux cas : aujourd'hui le pisseur de code est seul, rame pour embaucher, à du mal à payer les stagiaires, baratine face au client. L'autre vient d'embaucher quelqu'un, à des clients fidèles et qui lui font de la bonne pub, sa toute petite agence se porte bien.

Le hic : le pisseur de code pouvait se permettre de payer son ancien employé au dessus du smic, celui qui fait de la qualité ne pouvait pas se le permettre : la qualité sa prend du temps, et le temps c'est de l'argent :/

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Arnaud - il y a 9 ans

Le pire c'est que dans le monde actuel, Luc n'a pas tort...
Le marketing fait vendre... mais plutot dans la filière classique

En ce qui concerne les jeux freemium, la qualité est primordiale car les gens qui vont payer doivent être accro au jeu

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Álvaro Sánchez Glez - il y a 9 ans

On dirait bob l'éponge

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Axelle - il y a 9 ans

Mouhahahaha le "sauf moi" et le ballon de foot du brésilien ^^ bon c'est quand la révolution ??

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Peuwi - il y a 9 ans

Penser "produit" peut faire de belles choses, mais aussi des gros flops.
Il faut plutôt penser "client", sans non plus le traiter comme un enfant.

De bons projets ont des succès avec finalement de gros défauts
(les graphismes de Minecraft, l'huile de palme du Nutella)

... Et la meilleure façon de savoir ce que veut un client, ce n'est pas d'être un génie du marketing ultra innovant, ni d'avoir un CRM à 500M€ ... C'est tout simplement de le lui demander et de l'écouter.
Il n'y a que les clients de produits de luxe qui sont infoutus de prioriser ce qu'ils veulent.

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Laurent Bourgeois - il y a 9 ans

"I might #fail as an #entrepreneur, because j'ai pas compris que c'était un travail et pas une étiquette" huhu.

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Animal - il y a 9 ans

Deux positions extrêmes et sans doute aussi erronées l'une que l'autre...

Les boîtes qui font des produits irréprochables et qui se cassent la gueule faute de bon marketing, ça manque pas... pour mémoire Lego est passé au bord de la faillite. Ce sont les franchises Star Wars et autres qui ont permis de redresser la boîte.

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Philippe Lemaire - il y a 9 ans

"par exemple les salaires"... ouais quand la vente se fait à petits choux, ça se stagne partout...bizzare bizarre...vous avez dit "penser produit" ? ;-)

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Richard - il y a 9 ans

"Le marketing suffit à faire vendre." Oui, bien sûr, sauf que si on vend de la m..., même emballée dans du PQ haut de gamme, ça reste de la m..., et gare au retour de flamme des utilisateurs.

Le marketing est nécessaire, mais pas suffisant: ceux qui auront acheté un logiciel qui plante constamment ne feront certainement pas une bonne publicité à la boite. Joffrey & Luc, ou l'art et la manière de couler une boite en s'en mettant plein les poches.

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Nikk - il y a 9 ans

Équilibre logique à trouver...
Heureusement que Sébastien et Arthur n'ont rien à voir avec les personnages de fiction que sont Luc et Joffrey!!
D'ailleurs que pensent Sébastien et Arthur de pareil détournement de leur image pour illustrer cette belle mise en abîme?
Keep going!

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Sûria BD - il y a 9 ans

Mais heu... Non, il faut toujours une deuxième tablette de secours.

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Dilustro - il y a 9 ans

Ni la qualité d'un produit ni sa stratégie de vente ne suffisent à en faire un succès, on est d'accord... Il y a certes des produits géniaux qui font un carton uniquement par le bouche-à-oreille, et des produits bâclés qui font du chiffre grâce à un matraquage publicitaire... Mais, dans les deux cas, c'est plutôt rare.

Beaucoup essayent, peu réussissent. Mais dans le cas d'un échec, le produit de qualité mal promu a un avantage par rapport au mauvais produit bien promu : c'est que le produit, en lui-même, reste bon dans le temps, et de manière visible, objective, tandis que la publicité est éphémère et racoleuse même si le produit est bon.

Le premier, même s'il est un échec commercial, peut tout de même servir la bonne réputation de la boîte et remonter dans les ventes avec une stratégie de vente réadaptée... Alors que le second peut certes se vendre beaucoup quelques semaines en attirant l'attention... puis s'écrouler totalement, et cette fois sans rattrapage possible, tout en desservant l'image de la boîte.

Il faut toujours penser au long terme, et sur le long terme, dans une stratégie globale, c'est effectivement plus tentant de se construire une excellente réputation, quitte à en baver lors du lancement des premiers produits. Il y a beaucoup d'entreprises qui peuvent en témoigner.

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effer - il y a 9 ans

J'aime toujours ce que vous faites et dessinez.
Continuez,
Merci.
:)

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Anaïs - il y a 9 ans

:)

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araïs - il y a 9 ans

Je comprends pas trop la logique de ceux qui s'indignent de la revente de la seconde tablette : à 3000€ la bête je vois pas trop l’intérêt de la laisser prendre la poussière dans un coin et perdre de sa valeur ça fait cher la solution de secours, à la limite acheter et garder une tablette classique type intuos ça aurait plus de sens je crois...

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soleil - il y a 9 ans

Et pas avant tout rencontrer un besoin ? (Et s'il faut le marketing, la pub, créent le besoin ?)
(Soleil, pas du tout société de conso et sans le faire exprès en plus ^^)

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Jean Lespinasse - il y a 9 ans

Il a raison. Produit parfait (ou presque), irréprochable, ça se vend tout seul. Exemple : Apple.

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