"La deadline", page 10.
il y a 4 ans
S'il vous plaît, lisez bien ceci :
Cette planche aussi est dure.
Après, ça ira mieux.
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À vendredi pour la suite,
Bonne journée
🌿 Laurel 🌿
il y a 4 ans
S'il vous plaît, lisez bien ceci :
Cette planche aussi est dure.
Après, ça ira mieux.
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À vendredi pour la suite,
Bonne journée
🌿 Laurel 🌿
Regulus - il y a 4 ans
Oh mon Dieu, le Petit Cambodge...
Répondrefoducool - il y a 4 ans
ça arrive tellement pas souvent en france qu'on se dit pas que ce sont des victimes d'une fusillade au premier abord
RépondreSuper Salade - il y a 4 ans
C'est sûr que surtout en 2015, le plus logique c'est de penser à un accident de voiture. Statistiquement c'est probable. Après, aujourd'hui on penserait plus vite à un attentat qu'à l'époque.
RépondreKadie - il y a 4 ans
A mon avis le jeune homme est sous le choc et essaie de donner un sens "normal" à ce qu'il voit, ce que rend très bien le traitement de Laurel. Pour l'absence d'hémoglobine, c'est peut-être que les plaies ne saignent pas encore, cela vient d'arriver. Les images sont choquantes, en ce sens que les jeunes gens semblent des poupées cassées, on a brutalement volé leur vie. J'aurais aimé qu'il se trouve quelqu'un pour dessiner l'attaque contre une école juive de Toulouse, le 19 mars 2012 : un enseignant, ses deux jeunes fils et une petite fille tués à bout portant, comme des chiens. L'indifférence publique à cet attentat a ouvert la voie aux attaques qui frappent désormais tout le monde sans distinction, dans les villes occidentales.
RépondreElbarto - il y a 4 ans
Comment ça l'indifférence publique ? Ca a fait les gros titres partout à l'époque, on en parlait partout et ça a été condamné par nombre de personnalités, politiques ou non. La différence est que cela paraissait être le fait d'un homme seul (en tout cas avant que l'enquete ne progresse) et que le nombre de victimes était moindre comparé au 13 novembre, mais sinon je ne comprends pas pourquoi tu parles d'indifférence.
RépondreManu - il y a 4 ans
Il joue sans doute les habituels Caliméro qui trouvent qu'on ne s'apitoie pas suffisamment sur le sort des juifs...
RépondreEt en 2015, on était parfaitement conscient des risques d'attentats... plusieurs avaient déjà eu lieu, le plan vigipirate était en alerte attentat depuis janvier!
J'étais au Bataclan 8 jours avant le drame., et j'y ai imaginé le massacre qu'il s'est malheureusement passé. Des hommes armés entrant par l'accueil, et aucune issue pour s'échapper...
tchaf - il y a 4 ans
L'antisémtisme est malheureusement une réalité, à l'extrême droite ET à gauche, où cela a le plus de conséquences car, autant personne ne prend modèle sur le pen, autant beaucoup de gens suivent la gauche plus ou moins radicale sans se poser de questions
Répondre"Holy Leffe" - il y a 4 ans
Donc la bière qu'il a ouverte lui a sauvé la vie, parce que cela l'a retardé d'une minute?
Répondre"Holy Leffe"
C'est pas pour rien que la bière était fabriquée par des moines
Elisa - il y a 4 ans
Je me souviens très bien de ce soir là. J'étais sortie boire une bière en terrasse sur Paris avec ma sœur. On était à 2 ou 3 km des attentats. On a entendu les coups de feu.
RépondreLe gérant du bar dans lequel on était a fait rentrer toutes les personnes présentes sur la terrasse. Après quelques minutes d'incompréhension, on a commencé à réaliser ce qui se passait. Les attentats de Charlie Hebdo et ceux de l'Hyper Cacher étaient encore frais, et tout le monde a réalisé rapidement ce qui se passait. A ce moment là, il y a eu deux réactions bien distinctes de la part de chacun : ceux qui ont voulu partir et rentrer chez eux au plus tôt, et ceux qui n'ont pas osé mettre le pied dehors. J'ai fait partie de cette deuxième catégorie. Nous sommes restées ma sœur et moi dans le bar, à attendre, sans savoir ce que nous attendions. Les médias nous donnaient des informations contradictoires au fil de minutes et des heures, c'était très angoissant. Et puis à un moment, on a su que les RER et métros étaient de nouveau en fonctionnement. On a décidé de rentrer dans nos logements respectifs. Quelle angoisse de marcher jusqu'à la bouche de métro ! Et une fois sous terre, c'était pire encore... on ne savait pas encore précisément ce qui venait de se passer, et on ne savait pas si c'était réellement terminé. Ca a été le plus long retour chez moi... je n'ose imaginer le traumatisme des gens sur place...
Elisa - il y a 4 ans
Je me souviens très bien de ce soir là. J'étais sortie boire une bière en terrasse sur Paris avec ma sœur. On était à 2 ou 3 km des attentats. On a entendu les coups de feu.
RépondreLe gérant du bar dans lequel on était a fait rentrer toutes les personnes présentes sur la terrasse. Après quelques minutes d'incompréhension, on a commencé à réaliser ce qui se passait. Les attentats de Charlie Hebdo et ceux de l'Hyper Cacher étaient encore frais, et tout le monde a réalisé rapidement ce qui se passait. A ce moment là, il y a eu deux réactions bien distinctes de la part de chacun : ceux qui ont voulu partir et rentrer chez eux au plus tôt, et ceux qui n'ont pas osé mettre le pied dehors. J'ai fait partie de cette deuxième catégorie. Nous sommes restées ma sœur et moi dans le bar, à attendre, sans savoir ce que nous attendions. Les médias nous donnaient des informations contradictoires au fil de minutes et des heures, c'était très angoissant. Et puis à un moment, on a su que les RER et métros étaient de nouveau en fonctionnement. On a décidé de rentrer dans nos logements respectifs. Quelle angoisse de marcher jusqu'à la bouche de métro ! Et une fois sous terre, c'était pire encore... on ne savait pas encore précisément ce qui venait de se passer, et on ne savait pas si c'était réellement terminé. Ca a été le plus long retour chez moi... je n'ose imaginer le traumatisme des gens sur place...
Elisa - il y a 4 ans
Pas compris pourquoi ça a envoyé deux fois.. désolée !
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