"Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite."
Rhaaaaaaa comment ça c'est pas la question ? Ho bah c'est sûr c'est un super rêve de bosser pour que dalle, vivre avec des stagiaires et ne pas avoir de chambre avec 1800$ de loyer et des promesses non tenues non mais l'hallu quoi ! Les mecs ils débarquent comme un cheveu sur la soupe en utilisant VOTRE travail pour monter une boîte, ils se rincent bien comme il faut avec leur part en donnant que dalle à un des cofounders et ils (enfin IL) se la ramène comme ça ? Hiiiiiii pardon ce mec me met hors de moi à chaque fois !
Bon, maintenant c'est sûr, ce mec est un gros enfoiré ! Tenter de te faire culpabiliser pour que tu te taise et arrête de réclamer des choses qui vous sont dues, c'est dégueulasse !
Mais c'est de pire en pire. Quand il demande et redemande si vous êtes contents au lieu de demander simplement comment ça se passe en te laissant la possibilité de donner vraiment ton avis, ce n'est pas un bon signe. Ça veut dire "Tu vas répondre oui et me foutre la paix, oui?"
Sa technique est d'ailleurs très au point, c'est presque admirable ; il ne pose que des question fermées qui tentent d'influencer ta réponse dans le sens qui l'arrange : "Sinon, vous êtes contents?", "Bon, rien d'autre?" (ad nauseam) pour abréger la conversation et t'empêcher de le 'contredire'. Sans parler de son agressivité soudaine pour essayer de t'intimider ("Quoi, tu penses que vous vous faites avoir par Boulax?"). Je connais le truc par coeur, j'ai quelqu'un dans ma famille qui ne sait parler que comme ça et c'est absolument usant.
Au fait, j'aime bien le site sur son laptop dans la dernière planche! On sent vraiment qu'il t'écoute avec attention ;)
Mon personnage (puisque tout ceci est de la fiction hein) ne voyait quedalle, mais en effet avec le recul... Enfin bon, j'attends de voir certaines choses encore... (qui m'inspirent mais sont sans lien avec cette BD, hein, on est d'accord)... ^^
La manipulation psychologique dans toute sa splendeur... On parie combien qu'il raconte exactement l'inverse aux autres employés quand ils viennent faire des critiques ? "Ouais mais vous allez pas vous plaindre, Laurel elle bosse comme une tarée pour des clopinettes et on l'a jamais entendue réclamer quoi que ce soit... Elle vous envie, d'ailleurs !"
Le pire, c'est que l'attitude de Joffrey est ici celle d'un vrai entrepreneur. Maintenir une entreprise à flot, surtout une start-up dans un milieu aussi compétitif, requiert souvent de faire des économies de bouts de chandelles, par tous les moyens. Dans un système capitaliste, le plus sûr moyen de survivre est de sous-payer la force de travail et ainsi réduire les coûts de production par rapport aux autres entreprises. Et c'est bien ce qu'il fait, ici : déprécier la valeur réelle du boulot de Laurel afin qu'elle ne se rende plus compte qu'elle est sous-payée.
Bien entendu, je n'essaye pas de justifier ce type d'attitude... S'il faut faire des sacrifices financiers, un bon chef de projet doit être en mesure de convaincre ses partenaires qu'il faut se serrer la ceinture pour l'instant, chiffres à l'appui. Le manque de transparence de cette situation laisse bien suggérer que la force de travail de Joffrey, elle, est rémunérée à sa juste valeur, contrairement à celle des autres !
C'est très intéressant de voir évoluer les personnages au fil de l'histoire. on voit bien que dans ce projet commun, il y a des perspectives différentes, que vous semblez très passionnés et que c'est ce qui vous motive, alors que le Joeffrey semble avoir une perspective de patron et avant tout financière. Il faut souvent les deux, mais on peux donc facilement comprendre que des désaccord/conflits puisse naitre à certains moments. Cette BD est super, un plaisir à lire chaque jour, merci ! :)
J'aimerai bien avoir la version des autres protagonistes de l'histoire. Je trouve ça un peu "français" de partir à l'étranger (et encore c'est pas la Transnistrie) et de s'attendre à ce que tout arrive tout cuit. Le mec insiste sur "votre rêve" parce que c'est le cas. Et j'aime bien les commentaires des gens dans les posts précédents genre : "ha mais moi je l'aurai frappé" ou "c'est pas normal" avec leur vision du socialisme à la française alors qu'ils ne se sont jamais bougés de Tourcoing. Ben oui, si tu veux faire des trucs dans la vie faut parfois faire des sacrifices et faire sans la sécu, etc. Laurel a été payé pour faire ce qu'elle aime faire et elle a été obligé de vivre avec des stagiaires ? Pensez au gars à la chaîne chez Peugeot qui n'a pas le talent pour dessiner son malheur...
Il y a toutefois un juste milieu entre s'attendre à ce que tout arrive tout cuit et se faire totalememnt exploiter. Pourquoi faudrait-il tout accepter sous prétexte qu'on est à l'étranger ?
Laurel a précédemment expliqué qu'il fallait absolument être sur place pour permettre à l'entreprise de décoller, donc Joffrey est ici d'une mauvaise foi tout à fait flagrante. D'ailleurs, rien n'empêche Luc de venir aussi en Californie (et à ses frais, comme les autres).
Et vivre sans assurance maladie aux Etats-Unis n'a absolument rien à voir avec vivre sans la sécu en France, surtout avec un enfant dans la famille (comme on l'a vu récemment). C'est une chose que Luc aurait dû régler en priorité absolue.
PS : je suis expatriée depuis 20 ans et n'ai jamais mis les pieds à Tourcoing.
En tant qu'étudiante et stagiaire régulière, un point me taraude: en quoi vivre avec les stagiaires est un problème? Ou est-ce que c'est seulement le fait d'être en coloc? :)
Cé, quand tu auras 32 ans, et peut-être un ou plusieurs enfants, je crois que tu ne seras plus aussi enthousiaste à l'idée de vivre avec tes collègues!
Petite question qui n'est pas du tout de l'ordre de la provocation : quel est l’intérêt de faire croire à une fiction alors que chacun se compte qu'il s'agit d'un témoignage ? Je trouve justement le témoignage intéressant, et cette histoire de fiction discrédite un peu le propos. Y a rien d'illégal à présenter un fait, surtout que c'est pas la première entreprise où dans les faits certains font preuve de mon de sens moral que d'autres. Voilà, sinon très bien, j'ai hâte de lire la suite pour savoir comment se règle ce genre de situation.
mais je ne comprend pas. Ce n'est réellement que pure fiction/invention ? ou est-ce que cette BD reflete un tant soit peu votre aventure au jour le jour ?
Joffrey mon petit, viens par ici. J'ai qq mots à te dire. Tu m'énerves super, et c'est pas bon pour ma tension. T'es qu'un gros macho super-imbu de sa personne. Et t'es manipulateur pire que ma vieille mère (c'est dire !). La prochaine fois que t'es odieux comme ça avec Laurel, on va s'occuper de toi. Fais gaffe, hein ...
Mais il est à vomir ce mec !!! Méprisant et donc méprisable ! Bon... Il arrive quand Adrien sur son cheval blanc pour voler au secours de sa dulcinée ???
"Toute ressemblance avec gna gna gna bla blah"... tu es démasquée, Laurel : en fait, "The daily struggle", c'est la première mouture du scénario de "The Social Network" !
Cette BD est vraiment passionnante, j'attends chaque nouvelle planche avec impatience :)
Je ne sais pas si vous le savez, je suis tombée par hasard dessus, votre jeu illustre un accessoire Apple (Sphero 2.0) : http://store.apple.com/fr/product/HD162LL/A/sphero-20-revealed-%C3%A0-%C3%A9dition-limit%C3%A9e-par-orbotix
Vraiment, plus je vois le personnage de Joffrey, plus je le trouve antipathique. Je serais presque encline à ne pas le croire quand il dit que Luc et lui "travaillent comme des fous". Je trouve qu'il répète ça comme un mensonge dont on veut se convaincre et qu'on répète comme si ça allait le faire devenir une vérité. Beurk ! Vivement qu'il s'en aille. Je ne l'aime pas et il me rend la BD désagréable à lire.
Je me fait une réflexion, est-ce que Joffrey ne se ferait-il pas trop d'idées? Ce que je veux dire,ce qu'il donne l'impression de vouloirs le succès et l'argent tout suite quitte à ignorer les réalité de la vie, comme le fait qu'il repousse à échéance certaine chose (les remboursement) ou le fait que ton personnage n'obtienne que "3%" alors que lui à déjà "20%" .Est-ce que ça arrive souvent dans le milieu des startup? Sinon, je vois que vous aimez "adventure time", vous avez bon goût! ps: Je suis votre blog depuis un bail et je trouve votre dessin c'est vachement embellit ( même si il était déjà beau avant :))
Axelle - il y a 10 ans
Rhaaaaaaa comment ça c'est pas la question ? Ho bah c'est sûr c'est un super rêve de bosser pour que dalle, vivre avec des stagiaires et ne pas avoir de chambre avec 1800$ de loyer et des promesses non tenues non mais l'hallu quoi ! Les mecs ils débarquent comme un cheveu sur la soupe en utilisant VOTRE travail pour monter une boîte, ils se rincent bien comme il faut avec leur part en donnant que dalle à un des cofounders et ils (enfin IL) se la ramène comme ça ? Hiiiiiii pardon ce mec me met hors de moi à chaque fois !
RépondreAdamis - il y a 10 ans
C'est moi ou il élude vraiment ce que tu as à dire ? Le genre de situation qui m'énerverait, ça x)
RépondreMuzikals - il y a 10 ans
Bon, maintenant c'est sûr, ce mec est un gros enfoiré ! Tenter de te faire culpabiliser pour que tu te taise et arrête de réclamer des choses qui vous sont dues, c'est dégueulasse !
Répondreblou - il y a 10 ans
A l'entendre on croirait qu'il a exaucé un de vos caprice en vous faisant venir ici... Et quel ton paternaliste
RépondreAuryn - il y a 10 ans
Mais c'est de pire en pire. Quand il demande et redemande si vous êtes contents au lieu de demander simplement comment ça se passe en te laissant la possibilité de donner vraiment ton avis, ce n'est pas un bon signe. Ça veut dire "Tu vas répondre oui et me foutre la paix, oui?"
RépondreSa technique est d'ailleurs très au point, c'est presque admirable ; il ne pose que des question fermées qui tentent d'influencer ta réponse dans le sens qui l'arrange : "Sinon, vous êtes contents?", "Bon, rien d'autre?" (ad nauseam) pour abréger la conversation et t'empêcher de le 'contredire'. Sans parler de son agressivité soudaine pour essayer de t'intimider ("Quoi, tu penses que vous vous faites avoir par Boulax?"). Je connais le truc par coeur, j'ai quelqu'un dans ma famille qui ne sait parler que comme ça et c'est absolument usant.
Au fait, j'aime bien le site sur son laptop dans la dernière planche! On sent vraiment qu'il t'écoute avec attention ;)
Laurel - il y a 10 ans
Mon personnage (puisque tout ceci est de la fiction hein) ne voyait quedalle, mais en effet avec le recul... Enfin bon, j'attends de voir certaines choses encore... (qui m'inspirent mais sont sans lien avec cette BD, hein, on est d'accord)... ^^
RépondreMissTic - il y a 10 ans
Et du coup ils te savent chez Pixowl que tu écris cette BD? (Qui n'a évidemment rien a voir avec ta propre histoire on est d'accord 😊)
RépondreDilustro - il y a 10 ans
La manipulation psychologique dans toute sa splendeur... On parie combien qu'il raconte exactement l'inverse aux autres employés quand ils viennent faire des critiques ? "Ouais mais vous allez pas vous plaindre, Laurel elle bosse comme une tarée pour des clopinettes et on l'a jamais entendue réclamer quoi que ce soit... Elle vous envie, d'ailleurs !"
RépondreLe pire, c'est que l'attitude de Joffrey est ici celle d'un vrai entrepreneur. Maintenir une entreprise à flot, surtout une start-up dans un milieu aussi compétitif, requiert souvent de faire des économies de bouts de chandelles, par tous les moyens. Dans un système capitaliste, le plus sûr moyen de survivre est de sous-payer la force de travail et ainsi réduire les coûts de production par rapport aux autres entreprises. Et c'est bien ce qu'il fait, ici : déprécier la valeur réelle du boulot de Laurel afin qu'elle ne se rende plus compte qu'elle est sous-payée.
Bien entendu, je n'essaye pas de justifier ce type d'attitude... S'il faut faire des sacrifices financiers, un bon chef de projet doit être en mesure de convaincre ses partenaires qu'il faut se serrer la ceinture pour l'instant, chiffres à l'appui. Le manque de transparence de cette situation laisse bien suggérer que la force de travail de Joffrey, elle, est rémunérée à sa juste valeur, contrairement à celle des autres !
Laurel - il y a 10 ans
Pour le discours tenu aux autres employés, c'est évident oui!
RépondreAudrey - il y a 10 ans
C'est très intéressant de voir évoluer les personnages au fil de l'histoire. on voit bien que dans ce projet commun, il y a des perspectives différentes, que vous semblez très passionnés et que c'est ce qui vous motive, alors que le Joeffrey semble avoir une perspective de patron et avant tout financière. Il faut souvent les deux, mais on peux donc facilement comprendre que des désaccord/conflits puisse naitre à certains moments.
RépondreCette BD est super, un plaisir à lire chaque jour, merci ! :)
Ben7 - il y a 10 ans
J'aimerai bien avoir la version des autres protagonistes de l'histoire. Je trouve ça un peu "français" de partir à l'étranger (et encore c'est pas la Transnistrie) et de s'attendre à ce que tout arrive tout cuit. Le mec insiste sur "votre rêve" parce que c'est le cas. Et j'aime bien les commentaires des gens dans les posts précédents genre : "ha mais moi je l'aurai frappé" ou "c'est pas normal" avec leur vision du socialisme à la française alors qu'ils ne se sont jamais bougés de Tourcoing. Ben oui, si tu veux faire des trucs dans la vie faut parfois faire des sacrifices et faire sans la sécu, etc. Laurel a été payé pour faire ce qu'elle aime faire et elle a été obligé de vivre avec des stagiaires ? Pensez au gars à la chaîne chez Peugeot qui n'a pas le talent pour dessiner son malheur...
RépondreSinon chapô, ce sont de sacrées planches.
Auryn - il y a 10 ans
Il y a toutefois un juste milieu entre s'attendre à ce que tout arrive tout cuit et se faire totalememnt exploiter. Pourquoi faudrait-il tout accepter sous prétexte qu'on est à l'étranger ?
RépondreLaurel a précédemment expliqué qu'il fallait absolument être sur place pour permettre à l'entreprise de décoller, donc Joffrey est ici d'une mauvaise foi tout à fait flagrante. D'ailleurs, rien n'empêche Luc de venir aussi en Californie (et à ses frais, comme les autres).
Et vivre sans assurance maladie aux Etats-Unis n'a absolument rien à voir avec vivre sans la sécu en France, surtout avec un enfant dans la famille (comme on l'a vu récemment). C'est une chose que Luc aurait dû régler en priorité absolue.
PS : je suis expatriée depuis 20 ans et n'ai jamais mis les pieds à Tourcoing.
Laurel - il y a 10 ans
"J'aimerai bien avoir la version des autres protagonistes de l'histoire."
RépondreÇa peut être une idée d'activité pour Cerise, ça, tiens! Raconter ses trois dernières années en BD.
Cé - il y a 10 ans
En tant qu'étudiante et stagiaire régulière, un point me taraude: en quoi vivre avec les stagiaires est un problème? Ou est-ce que c'est seulement le fait d'être en coloc? :)
RépondreLaurel - il y a 10 ans
Cé, quand tu auras 32 ans, et peut-être un ou plusieurs enfants, je crois que tu ne seras plus aussi enthousiaste à l'idée de vivre avec tes collègues!
RépondreSheraf - il y a 10 ans
Petite question qui n'est pas du tout de l'ordre de la provocation : quel est l’intérêt de faire croire à une fiction alors que chacun se compte qu'il s'agit d'un témoignage ? Je trouve justement le témoignage intéressant, et cette histoire de fiction discrédite un peu le propos. Y a rien d'illégal à présenter un fait, surtout que c'est pas la première entreprise où dans les faits certains font preuve de mon de sens moral que d'autres.
RépondreVoilà, sinon très bien, j'ai hâte de lire la suite pour savoir comment se règle ce genre de situation.
DamGoy - il y a 10 ans
mais je ne comprend pas. Ce n'est réellement que pure fiction/invention ? ou est-ce que cette BD reflete un tant soit peu votre aventure au jour le jour ?
RépondresalociN - il y a 10 ans
"Mais vous allez tous finir par être heureux bordel de dieu ?!"
Répondremoi - il y a 10 ans
Joffrey mon petit, viens par ici. J'ai qq mots à te dire. Tu m'énerves super, et c'est pas bon pour ma tension. T'es qu'un gros macho super-imbu de sa personne. Et t'es manipulateur pire que ma vieille mère (c'est dire !). La prochaine fois que t'es odieux comme ça avec Laurel, on va s'occuper de toi. Fais gaffe, hein ...
RépondreL3st4t - il y a 10 ans
Mais il est à vomir ce mec !!!
RépondreMéprisant et donc méprisable !
Bon... Il arrive quand Adrien sur son cheval blanc pour voler au secours de sa dulcinée ???
M.I.B - il y a 10 ans
Ton histoire est réellement passionnante, mais je m'interroge sur la réaction de tes associés (fictif, soit) devant un tel déballage?
RépondreNe crains tu pas de nuire à l'image de ta société fictive?
Lynma - il y a 10 ans
"C'est VOTRE rêve de vivre ici, pas le sien, c'est pour ça qu'il est jaloux."
Répondre"Gné ? O_o"
Phy. - il y a 10 ans
"Toute ressemblance avec gna gna gna bla blah"... tu es démasquée, Laurel : en fait, "The daily struggle", c'est la première mouture du scénario de "The Social Network" !
RépondreLaurel - il y a 10 ans
Ah ah!
RépondreAnsolo - il y a 10 ans
Cette BD est vraiment passionnante, j'attends chaque nouvelle planche avec impatience :)
RépondreJe ne sais pas si vous le savez, je suis tombée par hasard dessus, votre jeu illustre un accessoire Apple (Sphero 2.0) : http://store.apple.com/fr/product/HD162LL/A/sphero-20-revealed-%C3%A0-%C3%A9dition-limit%C3%A9e-par-orbotix
Laurel - il y a 10 ans
Oh, excellent!
RépondreRhaaa il faut qu'on répare le fait de rendre les liens cliquables directement. Désolée.
Marie - il y a 10 ans
Vraiment, plus je vois le personnage de Joffrey, plus je le trouve antipathique. Je serais presque encline à ne pas le croire quand il dit que Luc et lui "travaillent comme des fous". Je trouve qu'il répète ça comme un mensonge dont on veut se convaincre et qu'on répète comme si ça allait le faire devenir une vérité. Beurk ! Vivement qu'il s'en aille. Je ne l'aime pas et il me rend la BD désagréable à lire.
Répondrelypos - il y a 10 ans
Je me fait une réflexion, est-ce que Joffrey ne se ferait-il pas trop d'idées? Ce que je veux dire,ce qu'il donne l'impression de vouloirs le succès et l'argent tout suite quitte à ignorer les réalité de la vie, comme le fait qu'il repousse à échéance certaine chose (les remboursement) ou le fait que ton personnage n'obtienne que "3%" alors que lui à déjà "20%" .Est-ce que ça arrive souvent dans le milieu des startup?
RépondreSinon, je vois que vous aimez "adventure time", vous avez bon goût!
ps: Je suis votre blog depuis un bail et je trouve votre dessin c'est vachement embellit ( même si il était déjà beau avant :))