"Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite."
Pourquoi de la torture ? Moi j'aime beaucoup ce récit. Je trouve qu'il irradie le bonheur et la joie de vivre (enfin, c'est l'effet qu'il me fait quand je le lis tous les matins. Ca me met en joie). Je trouve que le dessin très rond exprime le bonheur (c'est un compliment...)
Déjà qu'en regardant des séries, tu deviens fou quand après 30 minutes d'intrigue, on te plante un clifhanger de malade, mais là, après chaque planche dévorée en 30 secondes, tu te dis : "je ne tiendrai pas 24h pour lire la suivante, je veux la suite tout de suite !!!" ;)
Je confirme le conseil à Adrien: Dans les pays anglo-saxons, on vous dis d'abord: "qu'est-ce que vous savez faire?". En France on vous dit: "diplôme de niveau machin exigé". Attention: A noter qu'en France, la question "diplôme machin exigé" est suivi à l'entretien d'embauche de "et concrètement, vous avez fait quoi comme réalisations?".
c'est vrai que c'est insoutenable ce suspens... @Nico, faut faire comme moi et venir sur le site qu'une fois tous les 2 jours. Le plaisir dure 2 fois plus longtemps.
En tout Laurel merci de nous faire partager cette expérience. et bravo pour la qualité de ta BD. Je trouve que plus tu avances plus elle se bonifie tant au niveau illustration qu'au niveau scénaristique. C'est un vrai plaisir de te suivre.
- Autrement d'un point de vue scénaristique j'ai une chose qui m'est venu à l'esprit.
On sent que le scénario fait suite à une rétrospective "amer". Du coup le lecteur sent dès le début, les choses venir. Alors c'est un choix qui, à la base ne me gêner pas d'autant que je nourrissais l'envie d'intervenir ce qui m'impliquait encore plus dans l'histoire.
Puis avec du recul je me suis dit, pourquoi ne pas plutôt être plus discret sur les indices de raté, cela ajouterait peut être du suspens et un effet d'ascenseur émotionnel. (je ne dis pas que la version actuelle est sans suspens mais disons qu'on sent une forte orientation)
- D'un point de vue thérapeutico-scénaristique, je dirai qu'il est intéressant de reconnaître, non pas la naïveté, mais le bonheur, la satisfaction qu'on a pu avoir, même à tort, pour enfin reconnaître l'erreur. Et pouvoir dire, j'y croyais, j'étais exalté, j'ai rien vu, j'ai eu tort. Accepter son erreur, se respecter dans la critique pour continuer à s'aimer.
D'un point de vue du personnage ça prouve qu'il sait avoir un regard serein sur tout ça pour que le souvenir de cette expérience ne soit pas douloureuse. Et enfin d'un point de vue récit, ça permet de créer un twist, car le personnage nous entraîne dans son plaisir, sa joie, et sa chute.(oui encore mon ascenseur émotionnel).
Après même si j'écris un gros pavé, où j'imagine des axes d'évolution sur la narration et du scénario. Ton récit m'a accroché, et merci pour cette BD captivante à suivre. Et si tu dois retenir quelque chose de mon message c'est bien ce dernier paragraphe.
Axelle - il y a 10 ans
Rhaaaaaa mais ce suspens... c'est de la torture !!!
RépondreMarie - il y a 10 ans
Pourquoi de la torture ? Moi j'aime beaucoup ce récit. Je trouve qu'il irradie le bonheur et la joie de vivre (enfin, c'est l'effet qu'il me fait quand je le lis tous les matins. Ca me met en joie). Je trouve que le dessin très rond exprime le bonheur (c'est un compliment...)
RépondreNico - il y a 10 ans
Déjà qu'en regardant des séries, tu deviens fou quand après 30 minutes d'intrigue, on te plante un clifhanger de malade, mais là, après chaque planche dévorée en 30 secondes, tu te dis : "je ne tiendrai pas 24h pour lire la suivante, je veux la suite tout de suite !!!" ;)
RépondreAmelied - il y a 10 ans
Ahah c'est clair que le rythme est excellent ! Mais l'explosion se fait attendre :)
RépondreEstuaire44 - il y a 10 ans
C'est vrai que l'on a déjà comme un synopsis déjà bien avancé pour une série télé pétillante et originale sur les Expats : "Laurel est hardie".
RépondreUn lecteur - il y a 10 ans
Je confirme le conseil à Adrien:
RépondreDans les pays anglo-saxons, on vous dis d'abord: "qu'est-ce que vous savez faire?". En France on vous dit: "diplôme de niveau machin exigé".
Attention: A noter qu'en France, la question "diplôme machin exigé" est suivi à l'entretien d'embauche de "et concrètement, vous avez fait quoi comme réalisations?".
Axelle - il y a 10 ans
@Marie
RépondreJe crois que Nico a bien résumé la torture d'attendre 24h entre chaque planche =)
Marie-Eve - il y a 10 ans
Je crois que les lecteurs sont murs à point, il est temps de faire payer chaque nouvelle planche :D
Répondrepascale - il y a 10 ans
c'est vrai que c'est insoutenable ce suspens...
Répondre@Nico, faut faire comme moi et venir sur le site qu'une fois tous les 2 jours. Le plaisir dure 2 fois plus longtemps.
En tout Laurel merci de nous faire partager cette expérience.
et bravo pour la qualité de ta BD. Je trouve que plus tu avances plus elle se bonifie tant au niveau illustration qu'au niveau scénaristique.
C'est un vrai plaisir de te suivre.
Mam - il y a 10 ans
De mieux en mieux ce Daily chose
RépondreJ'aime aussi beaucoup le lien quand on clique sur l'image. J'adore ce que fait ce jeune homme.
Bise
Louis - il y a 10 ans
On en veut plus !... La douce douleur du suspense est insupportable :))
RépondreThibault - il y a 10 ans
Rah, mais c'est quoi ce mail !!!!
Répondre- Autrement d'un point de vue scénaristique j'ai une chose qui m'est venu à l'esprit.
On sent que le scénario fait suite à une rétrospective "amer". Du coup le lecteur sent dès le début, les choses venir. Alors c'est un choix qui, à la base ne me gêner pas d'autant que je nourrissais l'envie d'intervenir ce qui m'impliquait encore plus dans l'histoire.
Puis avec du recul je me suis dit, pourquoi ne pas plutôt être plus discret sur les indices de raté, cela ajouterait peut être du suspens et un effet d'ascenseur émotionnel. (je ne dis pas que la version actuelle est sans suspens mais disons qu'on sent une forte orientation)
- D'un point de vue thérapeutico-scénaristique, je dirai qu'il est intéressant de reconnaître, non pas la naïveté, mais le bonheur, la satisfaction qu'on a pu avoir, même à tort, pour enfin reconnaître l'erreur. Et pouvoir dire, j'y croyais, j'étais exalté, j'ai rien vu, j'ai eu tort. Accepter son erreur, se respecter dans la critique pour continuer à s'aimer.
D'un point de vue du personnage ça prouve qu'il sait avoir un regard serein sur tout ça pour que le souvenir de cette expérience ne soit pas douloureuse. Et enfin d'un point de vue récit, ça permet de créer un twist, car le personnage nous entraîne dans son plaisir, sa joie, et sa chute.(oui encore mon ascenseur émotionnel).
Après même si j'écris un gros pavé, où j'imagine des axes d'évolution sur la narration et du scénario. Ton récit m'a accroché, et merci pour cette BD captivante à suivre. Et si tu dois retenir quelque chose de mon message c'est bien ce dernier paragraphe.
Badmonkey - il y a 10 ans
Cliffhanger de malade!
RépondreÇa sent la fausse bonne nouvelle.