Laurel, je ne te le dis pas à chaque épisode pour ne pas être lourd, mais cette série est formidable. C'est un peu frustrant de la découvrir page à page, sans savoir combien de page il reste - mais bon c'est le principe hein et c'est surtout fanstastique que tu nous offres cette histoire. C'est très émouvant, c'est beau, c'est passionnant, la narration et le rythme sont incroyablement maintrisés et justes... ça doit représenter un travail considérable. Bravo.
C'est bizarre mais je suis très soulagée et heureuse qu'il se confie à ses parents et leur dise la vérité. Ca me semble très sain, et la première étape vers une guérison...
J'avais oublié qu'il était fils unique. Perdre un enfant c'est un drame et une blessure inguérissable, mais perdre son seul enfant, ça me semble un aller simple pour l'enfer.
Le début de la première bulle prête un peu à confusion. La planche précédente se termine par "Je vous ai menti" et celle-ci commence par "Je n'étais pas au Bataclan, mais..." Du coup on a l'impression qu'il leut avait dit qu'il était au Bataclan, alors qu'il leur avait dit être resté chez lui.
Bon évidemment quand on lira toutes les planches à la suite ce sera plus clair, mais là, "Je n'étais pas au Bataclan" pourrait être enlevé, ou bien commencer par "Je n'étais pas chez moi. Je n'étais pas au Bataclan, mais...". Mais bon y a pas la place. Bref...
Tout à fait d'accord avec la remarque d'Ori. J'avais un peu de retard, et donc lu les 2 planches d'affilées. J'ai "bloqué" sur le début de cette bulle et j'ai dû relire 2 fois, puis me dire "ok on regarde la suite, c'est bizarre la formulation".
Je pense qu'il veut dire : je vous ai menti (en disant que j'étais resté chez moi certes) ; même si je n'étais pas au bataclan (= même si je n'étais pas concerné directement par les attaques), j'étais tout près (= j'ai vu le truc de super près et des images choquantes et ça m'a perturbé).
Oui ça me paraît évident aussi. Et puis si on lit d'un coup je pense que ce ne sera pas perturbant, il n'y aura pas de risques d'avoir oublié ce qu'il a dit à ses parents.
Entre "Je vous déçois" et "C'est si irrationnel d'enterrer ses enfants, si anti-naturel, le cycle de la vie est brisé. Les enfants sont nés pour rien. Les parents aussi, du coup." d'une page précédente... Youpie, vive la famille ! (c'est ironique) Il y a vraiment des gens avec ce genre de mentalité ?
À toutes fins utiles, je rappelle que ce récit est tiré d'un témoignage réel, donc oui, a priori ce qui est rapporté existe. Certaines personnes (ayant ou non vécu un événement traumatisant, mais là, on a vu que c'était déjà présent avant) se posent réellement tout un tas de questions existentielles sur leur vie, leur rapport aux autres, à la famille...
didier - il y a 3 ans
Laurel, je ne te le dis pas à chaque épisode pour ne pas être lourd, mais cette série est formidable. C'est un peu frustrant de la découvrir page à page, sans savoir combien de page il reste - mais bon c'est le principe hein et c'est surtout fanstastique que tu nous offres cette histoire. C'est très émouvant, c'est beau, c'est passionnant, la narration et le rythme sont incroyablement maintrisés et justes... ça doit représenter un travail considérable. Bravo.
RépondreLaurel - il y a 3 ans
Merci beaucoup. 🙏
RépondreLaure - il y a 3 ans
C'est bizarre mais je suis très soulagée et heureuse qu'il se confie à ses parents et leur dise la vérité. Ca me semble très sain, et la première étape vers une guérison...
RépondreEstelle - il y a 3 ans
J'avais oublié qu'il était fils unique.
RépondrePerdre un enfant c'est un drame et une blessure inguérissable, mais perdre son seul enfant, ça me semble un aller simple pour l'enfer.
zebio - il y a 3 ans
Juste, bravo !
RépondreOri - il y a 3 ans
Le début de la première bulle prête un peu à confusion. La planche précédente se termine par "Je vous ai menti" et celle-ci commence par "Je n'étais pas au Bataclan, mais..." Du coup on a l'impression qu'il leut avait dit qu'il était au Bataclan, alors qu'il leur avait dit être resté chez lui.
RépondreBon évidemment quand on lira toutes les planches à la suite ce sera plus clair, mais là, "Je n'étais pas au Bataclan" pourrait être enlevé, ou bien commencer par "Je n'étais pas chez moi. Je n'étais pas au Bataclan, mais...". Mais bon y a pas la place. Bref...
Rizel - il y a 3 ans
Tout à fait d'accord avec la remarque d'Ori. J'avais un peu de retard, et donc lu les 2 planches d'affilées. J'ai "bloqué" sur le début de cette bulle et j'ai dû relire 2 fois, puis me dire "ok on regarde la suite, c'est bizarre la formulation".
RépondreLaurel - il y a 3 ans
Oh, bonne remarque ! Merci. Je vois tout à fait.
RépondreEstelle - il y a 3 ans
Je pense qu'il veut dire : je vous ai menti (en disant que j'étais resté chez moi certes) ; même si je n'étais pas au bataclan (= même si je n'étais pas concerné directement par les attaques), j'étais tout près (= j'ai vu le truc de super près et des images choquantes et ça m'a perturbé).
RépondreBlou - il y a 3 ans
Oui ça me paraît évident aussi. Et puis si on lit d'un coup je pense que ce ne sera pas perturbant, il n'y aura pas de risques d'avoir oublié ce qu'il a dit à ses parents.
RépondreBallmeyer - il y a 3 ans
Entre "Je vous déçois" et "C'est si irrationnel d'enterrer ses enfants, si anti-naturel, le cycle de la vie est brisé. Les enfants sont nés pour rien. Les parents aussi, du coup." d'une page précédente... Youpie, vive la famille ! (c'est ironique)
RépondreIl y a vraiment des gens avec ce genre de mentalité ?
zebio - il y a 3 ans
À toutes fins utiles, je rappelle que ce récit est tiré d'un témoignage réel, donc oui, a priori ce qui est rapporté existe.
RépondreCertaines personnes (ayant ou non vécu un événement traumatisant, mais là, on a vu que c'était déjà présent avant) se posent réellement tout un tas de questions existentielles sur leur vie, leur rapport aux autres, à la famille...
Raphaelle - il y a 3 ans
La tête du chat est assez ... drôle et dénote complètement dans le tableau, j'adore !
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