J'aime le contraste entre texte et image en première case (j'aurais du mal à croire que ce n'est pas volontaire) Effectivement il ferait bien de voir un psy, il en a besoin. La dernière case laisse craindre le pire, dans le genre Anders Breivik en Norvège.
Pour moi, je trouve qu'on dirait plutôt qu'il songe au suicide.
Ça sent le sapin pour Guillaume, si il meurt il ne pourra pas demander à Laurel de faire cette BD, ce qui provoquera un paradoxe temporel dont l'issue engendrerait une réaction en chaîne qui pourrait déchirer le tissu même du continuum espace-temps, provoquant la destruction totale de l'Univers.
ça me faisait plutôt penser à "je ne vais pas me laisser abattre moralement, je vais réagir, ne pas me laisser déposséder de ma vie comme ça. Assez de se plaindre !"
Dans ces cas là, où sont les narines... Vu comment Laurel dessine parfois des robes transparentes ou des décolletés bien "remplis", je ne pense pas que ça soit une question de puritanisme mais simplement de style de dessin.
Les US aiment les boobs, mais pas les tétons. Je crois justement que c'est Laurel qui m'avait prendre conscience de ça, avec une note postée quand elle s'était installée là bas. Mais force est de constater que, quelques années plus tard, cette aversion a traversé l'Atlantique (via Instagram et compagnie).
@Ori Rien à voir avec le puritanisme. C'est juste parce que c'est un reptilien. Comme Madonna, comme Obama, ou la reine Elizabeth. Les envahisseurs reptiliens n'ont pas de tétons. C'est tout simple en fait (la couette nous empêche de constater l'absence de nombril, mais ça ne fait aucun doute).
Je trouve la transition entre cette planche et celle d'avant hyper chelou. Pas le meme décor, aucune liaison, le personnage n'est plus du tout dans le meme état d'esprit qu'il se traine depuis des jours.
Si j'ai apprécié la première partie de la bd, celle de l'attentat, j'avoue que toutes ces dernières planches de problème psychologique me laissent totalement froide, aucune empathie pour Guillaume.
C'est étonnant de n'avoir "aucune" empathie pour une victime indirecte, une personne traumatisée
On peut avoir de l'empathie pour des personnes dont on ne considère pas les idées, simplement parce qu'elles sont humaines. On peut même décider de passer outre cette empathie. Mais de là à n'en avoir strictement aucune...
Pour ma part, **au stade actuel du récit** je suis en phase avec ce que dit AP. Pas d'empathie non plus, n'arrive pas à compatir et encore moins à m'identifier. Je précise tout de même que cette absence d'empathie n'est pas mon habitude, loin de là. A quoi ça tient ? De toute façon il faut attendre la fin de l'histoire.
Le discours est très froid : on devine une réflexion après coup plutôt que des pensées "à chaud", dans la formulation et même la cohérence des propos. Je pense que c'est cela qui fait perdre le côté émotionnel de la situation. Personnellement, moi aussi j'ai du mal à avoir de l'empathie pour ce personnage (même si je ne me prononce absolument pas sur la personne derrière).
Max Lampin - il y a 3 ans
J'aime le contraste entre texte et image en première case (j'aurais du mal à croire que ce n'est pas volontaire)
RépondreEffectivement il ferait bien de voir un psy, il en a besoin. La dernière case laisse craindre le pire, dans le genre Anders Breivik en Norvège.
Laura - il y a 3 ans
Pour moi, je trouve qu'on dirait plutôt qu'il songe au suicide.
RépondreÇa sent le sapin pour Guillaume, si il meurt il ne pourra pas demander à Laurel de faire cette BD, ce qui provoquera un paradoxe temporel dont l'issue engendrerait une réaction en chaîne qui pourrait déchirer le tissu même du continuum espace-temps, provoquant la destruction totale de l'Univers.
Anne - il y a 3 ans
ça me faisait plutôt penser à "je ne vais pas me laisser abattre moralement, je vais réagir, ne pas me laisser déposséder de ma vie comme ça. Assez de se plaindre !"
RépondreRwo - il y a 3 ans
Nom de Zeus...
RépondreLaure - il y a 3 ans
Mais où sont ses tétons ?????
RépondreOri - il y a 3 ans
Bonne question... Censurés par le puritanisme made in World Company?
RépondreRizel - il y a 3 ans
Dans ces cas là, où sont les narines...
RépondreVu comment Laurel dessine parfois des robes transparentes ou des décolletés bien "remplis", je ne pense pas que ça soit une question de puritanisme mais simplement de style de dessin.
Ori - il y a 3 ans
Les US aiment les boobs, mais pas les tétons. Je crois justement que c'est Laurel qui m'avait prendre conscience de ça, avec une note postée quand elle s'était installée là bas. Mais force est de constater que, quelques années plus tard, cette aversion a traversé l'Atlantique (via Instagram et compagnie).
RépondreMax Lampin - il y a 3 ans
@Ori
RépondreRien à voir avec le puritanisme. C'est juste parce que c'est un reptilien. Comme Madonna, comme Obama, ou la reine Elizabeth. Les envahisseurs reptiliens n'ont pas de tétons. C'est tout simple en fait (la couette nous empêche de constater l'absence de nombril, mais ça ne fait aucun doute).
jacques-humule - il y a 3 ans
Et encore, là il ne sait même pas qu'un virus va commettre le plus grand attentat d'après guerre.............
Répondresuper s - il y a 3 ans
Je trouve la transition entre cette planche et celle d'avant hyper chelou. Pas le meme décor, aucune liaison, le personnage n'est plus du tout dans le meme état d'esprit qu'il se traine depuis des jours.
RépondreFourneau - il y a 3 ans
Six ans plus tard, la guerre si vile... Et tiktok !
RépondreLm - il y a 3 ans
J'ose demander pour quand la suite de Californid ? Merci
RépondreLaurel - il y a 3 ans
Bientôt, j'avais super envie de raconter cette histoire, mais maintenant qu'elle est finie je vais pouvoir travailler sur Californid. Merci ! 🙂
RépondreAP - il y a 3 ans
Si j'ai apprécié la première partie de la bd, celle de l'attentat, j'avoue que toutes ces dernières planches de problème psychologique me laissent totalement froide, aucune empathie pour Guillaume.
RépondreFourneau - il y a 3 ans
C'est étonnant de n'avoir "aucune" empathie pour une victime indirecte, une personne traumatisée
RépondreOn peut avoir de l'empathie pour des personnes dont on ne considère pas les idées, simplement parce qu'elles sont humaines. On peut même décider de passer outre cette empathie. Mais de là à n'en avoir strictement aucune...
Max Lampin - il y a 3 ans
Pour ma part, **au stade actuel du récit** je suis en phase avec ce que dit AP. Pas d'empathie non plus, n'arrive pas à compatir et encore moins à m'identifier.
RépondreJe précise tout de même que cette absence d'empathie n'est pas mon habitude, loin de là. A quoi ça tient ?
De toute façon il faut attendre la fin de l'histoire.
Aliénor - il y a 3 ans
Le discours est très froid : on devine une réflexion après coup plutôt que des pensées "à chaud", dans la formulation et même la cohérence des propos.
RépondreJe pense que c'est cela qui fait perdre le côté émotionnel de la situation. Personnellement, moi aussi j'ai du mal à avoir de l'empathie pour ce personnage (même si je ne me prononce absolument pas sur la personne derrière).