C'est ultra agaçant d'être méprisé à ce point... "Du haut de tes 23 ans !!"... Et on demande une reconnaissance pour être dans une situation pareille... J'espère que Yann a tenu le coup :/
La vidéo est vraiment sympa. Merci pour cette bonne idée, ça fait plaisir de vous voir IRL comme on disait jadis :-) Mention spéciale pour Brume et les écureuils !
Hello Laurel ! J'ai bien reçu mon livre en temps et en heure et j'étais super heureuse ! Je suis tes pages avec assiduité, j'adore ! Et je viens de visualiser votre vidéo, c'est super de nous montrer des petites images de votre vie de tous les jours, avec les supers commentaires de Cerise ! :D Alors merci pour tout ce travail, et bon courage pour la suite ! Nous sommes là pour vous! <3
Comment faire passer une critique pour une réflexion désobligeante... il s'en prend aux stagiaires et nouveaux parce qu'ils ne peuvent pas répondre... Il ne testerait pas avec qq' un qui a de la bouteille ou du répondant. J'ai déjà repondu avec un qui ne se prenait pas pour de la merde... il l'a bien senti.
C'est drôle, mon ancienne patronne m'avait également dit que je devais tout à la boîte et que je n'apportais rien à l'entreprise. A se demander pourquoi je suis restée 6 ans et comment j'ai ramené de nouveaux clients!
Ah, encore une chose : quand on a commis un vol de propriété intellectuel (revoir tome 1) on n'exige pas de reconnaissance, à moins de vouloir s'expliquer devant un tribunal pour violation du droit d'auteur
Aussi jeunes ? C'est rare, non ? Moi j'ai attendu plus de 30 ans pour commencer à ne plus me laisser faire. Parfois ça prend du temps, ça dépend de plein de choses, confiance en soi, éducation, exemples autour de soi, etc.
ça dépend de ce qu'on appelle "se barrer sur place". Avec mon "Joffrey", je suis partie du jour au lendemain, mais c'était une fuite car ce n'était plus supportable. Je n'appellerais pas ça "réussir à ne pas se laisser faire", parce que je pense que j'étais trop jeune pour y parvenir, tenir tête, mais bon, au moins ne plus avoir à supporter ce genre de propos. Que de bons souvenirs... Bon courage à Loïc pour la suite de la BD !
Oui, même aussi jeune. Il est stagiaire, il a quand même moins à perdre que vous. Moi, je ne sais pas ce que j'aurais fait à sa place, mais j'en connais un paquet qui se seraient barrés, oui, même stagiaires. Quant à toi, Laurel, c'est en effet une question d'éducation, de caractère etc... Et puis les femmes ne sont pas trop éduquées (par la société en général, pas nécessairement leur parents) à avoir confiance en elles professionnellement, et à se battre pour réussir (j'ai ce problème aussi)...
Je suis la BD depuis ses débuts, et je suis impressionné qu'à ce stade, cela continue encore et que ces sales types continuent ainsi. Heureusement, c'est bientôt fini !
Merci pour la bd, c'est super et la tension est super bien gérée.
Juste une idée sans raport avec la page du jour, as tu pensé à la possibilité de faire un coffret pour les deux tomes de de CC ? Je serai intéressé de pouvoir l'offrir en plus de commander le tome 2 pour moi même.
Merci ! Tu veux dire un coffret en carton qui engloberait les deux livres ? Il serait trop grand, je pense... ce n'est pas prévu, mais il y aura sans doute moyen d'acheter les tomes 1 et 2 lors d'un second Ulule, oui ! 🙂
Mucho typico, se défouler sur quelqu’un qui n’est pas en position de se défendre. Je me demandais ce que devenaient les petits cons qui brimaient les autres au collège... visiblement certains font du chemin.
Ce qui est rare et précieux dans le travail de Laurel, à mon sens, est aussi ce qui peut choquer notre conception habituelle de la sociabilité (= capacité et façon de vivre en société, c'est-à-dire l'art de se supporter les uns les autres pour vivre ensemble). Il s'agit du fait (essentiel) qu'en général nous estimons que ce genre de conflits et de tensions plus ou moins aigüs qu'ont vécu Adrian et Laurel NE DOIVENT PAS ETRE RENDUS PUBLIQUES (sauf dans le cadre restreint et très codifié d'un procès judiciaire). Or, il faut bien comprendre (et nous le savons tous, si on creuse), que les individus du type de Joffrey dans la BD abusent de leurs talents manipulateurs (par désir d'emprise, jouissance du pouvoir, égotisme radical) en jouant sur le fait même que leurs "victimes" n'OSENT PAS EXTERIORISER PUBLIQUEMENT leur malaise ! Bref, pour faire simple, toute relation humaine est empreinte d'une épreuve de force, et il s'agit de trouver la balance la plus saine possible.
Sous cette angle, avec sa longueur feuilletonnesque et son faible décalage dans le temps avec les événements qui l'inspirent, la BD de Laurel est une brillante illustration d'un rapport de force mis à jour. Elle nous fascine autant qu'elle peut provoquer une certaine gêne, comme une querelle de couple en pleine rue, mais on voit bien que nous nous sentons tous concernés, que cette BD parle de nous également, et c'est pour cela, je crois, que les commentaires sont vécus aussi intimement, émotionnellement, intensément ; la "violence" au second degré qu'on y trouve parfois est compréhensible, car nous entrons dans le jeu, tout simplement, nous laissons (nous aussi) entrevoir publiquement que ces choses-là nous touchent parce que nous les avons plus ou moins directement vécues, déjà.
Certes, nous avons tous des personnalités diverses et variées, nous savons que nous n'aurions pas forcément réagi comme tel ou tel personnage dans telle situation, et parfois nous avons du mal à croire que quelqu'un puisse faire ou ne pas faire ceci ou cela. Mais "Comme convenu" nous touche car nous faisons tous dans notre vie l'expérience des rapports de force et des blessures qui en résultent, nous cherchons tous à en sortir avec le moins de casse possible.
Enfin voilà. Ce dont culturellement on n'ose en général pas parler, Laurel l'a fait publiquement, du mieux qu'elle le pouvait, pas sans éviter certains écueils, sans doute, nobody's perfect, mais elle l'a fait. Elle ne prétend pas à l'objectivité, elle n'affirme pas détenir la vérité sur les autres qu'elle, elle exprime simplement (et que c'est difficile, donc que c'est fort) ce qu'elle a ressenti et comment les autres lui sont apparus. Après, libre à nous de jeter métaphoriquement la pierre au Joffrey de papier ou de comprendre voire de justifier son management d'entreprise et/ou sa conception des rapports humains.
En tout cas, Laurel, chapeau et merci. A titre personnel, comme à titre professionnel, ta BD est un don précieux.
Ce qui est rare et précieux dans le travail de Laurel, à mon sens, est aussi ce qui peut choquer notre conception habituelle de la sociabilité (= capacité et façon de vivre en société, c'est-à-dire l'art de se supporter les uns les autres pour vivre ensemble). Il s'agit du fait (essentiel) qu'en général nous estimons que ce genre de conflits et de tensions plus ou moins aigüs qu'ont vécu Adrian et Laurel NE DOIVENT PAS ETRE RENDUS PUBLIQUES (sauf dans le cadre restreint et très codifié d'un procès judiciaire). Or, il faut bien comprendre (et nous le savons tous, si on creuse), que les individus du type de Joffrey dans la BD abusent de leurs talents manipulateurs (par désir d'emprise, jouissance du pouvoir, égotisme radical) en jouant sur le fait même que leurs "victimes" n'OSENT PAS EXTERIORISER PUBLIQUEMENT leur malaise ! Bref, pour faire simple, toute relation humaine est empreinte d'une épreuve de force, et il s'agit de trouver la balance la plus saine possible.
Sous cette angle, avec sa longueur feuilletonnesque et son faible décalage dans le temps avec les événements qui l'inspirent, la BD de Laurel est une fascinante illustration d'un rapport de force mis à jour. Elle nous fascine autant qu'elle peut provoquer une certaine gêne, comme une querelle de couple en pleine rue, mais on voit bien que nous nous sentons tous concernés, que cette BD parler de nous également, et c'est pour cela, je crois, que les commentaires sont vécus aussi intimement, émotionnellement, intensément ; la "violence" au second degré qu'on y trouve parfois est compréhensible, car nous entrons dans le jeu, tout simplement, nous laissons nous aussi entrevoir publiquement que ces choses-là nous touchent parce que nous les avons plus ou moins directement vécues, déjà.
Certes, nous avons tous des personnalités diverses et variées, nous savons que nous n'aurions pas forcément réagi comme tel ou tel personnage dans telle situation, et parfois nous avons du mal à croire que quelqu'un puisse faire ou ne pas faire ceci ou cela. Mais "Comme convenu" nous touche tous car nous faisons tous dans notre vie l'expérience des rapports de force et des blessures qui en résultent, nous cherchons tous à en sortir avec le moins de casse possible.
Ce qui est rare et précieux dans le travail de Laurel, à mon sens, est aussi ce qui peut choquer notre conception habituelle de la sociabilité (= capacité et façon de vivre en société, c'est-à-dire l'art de se supporter les uns les autres pour vivre ensemble). Il s'agit du fait (essentiel) qu'en général nous estimons que ce genre de conflits et de tensions plus ou moins aigüs qu'ont vécu Adrian et Laurel NE DOIVENT PAS ETRE RENDUS PUBLIQUES (sauf dans le cadre restreint et très codifié d'un procès judiciaire). Or, il faut bien comprendre (et nous le savons tous, si on creuse), que les individus du type de Joffrey dans la BD abusent de leurs talents manipulateurs (par désir d'emprise, jouissance du pouvoir, égotisme radical) en jouant sur le fait même que leurs "victimes" n'OSENT PAS EXTERIORISER PUBLIQUEMENT leur malaise ! Bref, pour faire simple, toute relation humaine est empreinte d'une épreuve de force, et il s'agit de trouver la balance la plus saine possible.
Sous cette angle, avec sa longueur feuilletonnesque et son faible décalage dans le temps avec les événements qui l'inspirent, la BD de Laurel est une brillante illustration d'un rapport de force mis à jour. Elle nous fascine autant qu'elle peut provoquer une certaine gêne, comme une querelle de couple en pleine rue, mais on voit bien que nous nous sentons tous concernés, que cette BD parle de nous également, et c'est pour cela, je crois, que les commentaires sont vécus aussi intimement, émotionnellement, intensément ; la "violence" au second degré qu'on y trouve parfois est compréhensible, car nous entrons dans le jeu, tout simplement, nous laissons (nous aussi) entrevoir publiquement que ces choses-là nous touchent parce que nous les avons plus ou moins directement vécues, déjà.
Certes, nous avons tous des personnalités diverses et variées, nous savons que nous n'aurions pas forcément réagi comme tel ou tel personnage dans telle situation, et parfois nous avons du mal à croire que quelqu'un puisse faire ou ne pas faire ceci ou cela. Mais "Comme convenu" nous touche car nous faisons tous dans notre vie l'expérience des rapports de force et des blessures qui en résultent, nous cherchons tous à en sortir avec le moins de casse possible.
Enfin voilà. Ce dont culturellement on n'ose en général pas parler, Laurel l'a fait publiquement, du mieux qu'elle le pouvait, pas sans éviter certains écueils, sans doute, nobody's perfect, mais elle l'a fait. Elle ne prétend pas à l'objectivité, elle n'affirme pas détenir la vérité sur les autres qu'elle, elle exprime simplement (et que c'est difficile, donc que c'est fort) ce qu'elle a ressenti et comment les autres lui sont apparus. Après, libre à nous de jeter métaphoriquement la pierre au Joffrey de papier ou de comprendre voire de justifier son management d'entreprise et/ou sa conception des rapports humains.
En tout cas, Laurel, chapeau et merci. A titre personnel, comme à titre professionnel, ta BD est une mine d'or !
Olivier > Il y a une petite erreur de manip de ta part, je crois, ton commentaire semble triplé (avec quelques menus changements). Je ne peux pas retoucher les coms directement, désolée, je suis obligée de le valider en entier. ☺️ Merci pour ta longue réaction ! 🙂
Je rejoins le commentaire de Olivier. Moi aussi je suis touché par la sincérité et la franchise quant à l'expression des ressentis. A titre personnel je dois beaucoup aux méthodes qui consistent à assumer honnêtement ce que l'on ressent, afin d'éviter d'être "taré" par le tout intellectuel, enfin je veux dire quand ce dernier occupe toute la place au point de ne plus se rendre compte que l'on fait du mal aux autres et à soi-même.
Finalement je suis admiratif. Bien qu'inquiet car extrêmement risqué, je reconnais que ce que tu as osé, Laurel, est très courageux et que bon nombre de nos compatriotes franchouillards ne comprendront jamais, mais peu importe. Ce qui compte à mon sens, c'est le vecteur vers une forme de bonheur, même s'il va à contre-courant, qu'importe! Tant que bonheur et joie/envie de vivre il y a c'est bien ce qui compte le plus, à plus forte raison si celà n'embête personne. Les USA me font peur, c'est vrai (et la prochaine succession présidentielle américaine n'est pas pour me rassurer ça va de soi), mais il faut avoir l'honnêteté de dire et surtout ressentir que ce n'est pas une raison pour tirer à boulets rouges sur l'innovation ou l'espérance qu'une autre vision du monde ou société sont possibles, n'en déplaisent aux "bien-pensants" bloqués dans leurs petites habitudes franco-françaises (même si je suis un peu comme ça aussi, par la force des choses).
Encore bravo Laurel, je te souhaite de pouvoir continuer à mener à bien tout ce qui te tient à coeur sans que l'adversité ne t'atteigne, et tout en restant un brin sensible à la critique tant qu'elle est justifiée, afin de garder la juste dose d'humilité qui au final fait que l'on se rapproche du meilleur.
Et chouette la vidéo! ça m'a fait un très chouette interlude. J'ai adoré les passages de chansons françaises illustrant quelques images! 😍
Enfin, merci infiniment pour le partage de ton immense talent, ça donne des ailes parfois.🙂
Oups, désolé ; c'était déjà un peu indigeste au départ, mais alors avec une triple dose ;-)) ! Merci de l'avoir passé tout de même et pardon à tous les lecteurs qui se seraient embarqués là-dedans.
Mon papa est un pervers narcissique, ca fait 5 ans que j´ai coupe tout lien avec lui. Le discours de Joffrey est EXACTEMENT celui de mon père, au mot pres, c+ est incroyable, juste de le lire ca m´a fait froid dans le dos, et ca m´a rappelé de très mauvais souvenirs. Ca, ce discours, cette BD, je peux attester que ca ne s´invente pas... J´attends la suite avec impatience...!!
Delphine de Maure - il y a 8 ans
Bichette :(
RépondreLaetitia Ruillon - il y a 8 ans
Il est vraiment taré !Ça fait longtemps que je serais partie :(
RépondreCathy Paine Flamme - il y a 8 ans
Contrecoup.
RépondreLizete Da - il y a 8 ans
Han ! Il n'a plus d'emprise sur Adrien et Laurel, il se rabat sur Yann ! Ouch !
RépondreWarlok Return - il y a 8 ans
mais quel mec détestable !
RépondreNekky Makko - il y a 8 ans
ça sent la méga galère...
RépondreJuliette Duflot - il y a 8 ans
Il se venge sur Yann du fait qu'il a pu d'emprise sur les faits et gestes de Laurel et Adrien ? C'est ça, n'est ce pas ?
RépondreElsa Chou - il y a 8 ans
C'est ultra agaçant d'être méprisé à ce point... "Du haut de tes 23 ans !!"... Et on demande une reconnaissance pour être dans une situation pareille... J'espère que Yann a tenu le coup :/
RépondreAudrey - il y a 8 ans
Cet homme a clairement fait un travail important sur la compréhension de ses émotions et comment les gérer dans ses rapports aux autres. :-D
RépondreVincent Isoz - il y a 8 ans
Comme disait buddha: si ta parole n'est pas plus précieuse que le silence tais-toi!
RépondreMax Lampin - il y a 8 ans
La vidéo est vraiment sympa.
RépondreMerci pour cette bonne idée, ça fait plaisir de vous voir IRL comme on disait jadis :-)
Mention spéciale pour Brume et les écureuils !
Laurel - il y a 8 ans
Merci !
RépondreCHoOkette - il y a 8 ans
Hello Laurel !
RépondreJ'ai bien reçu mon livre en temps et en heure et j'étais super heureuse ! Je suis tes pages avec assiduité, j'adore !
Et je viens de visualiser votre vidéo, c'est super de nous montrer des petites images de votre vie de tous les jours, avec les supers commentaires de Cerise ! :D
Alors merci pour tout ce travail, et bon courage pour la suite ! Nous sommes là pour vous! <3
Laurel - il y a 8 ans
Heureuse que la vidéo vous ait plu ! 😊
RépondreCédric Roulliat - il y a 8 ans
Le masque tombe.
RépondreJuu Mushu - il y a 8 ans
Mauvaise foi bonjour !
RépondreCrystalium - il y a 8 ans
Bon on va essayer de positiver en se disant que ça lui fait une bonne expérience sur le fait qu'il y a des gros cons dans la vie ..
RépondreMinui Mac - il y a 8 ans
Comment faire passer une critique pour une réflexion désobligeante... il s'en prend aux stagiaires et nouveaux parce qu'ils ne peuvent pas répondre... Il ne testerait pas avec qq' un qui a de la bouteille ou du répondant. J'ai déjà repondu avec un qui ne se prenait pas pour de la merde... il l'a bien senti.
RépondreArtémis Calavicci - il y a 8 ans
C'est dingue,ce besoin maladif de reconnaissance et d'avoir quelqu'un à tyranniser...
Répondrefoducool - il y a 8 ans
ça va s'finir à l'asile tout ça...
RépondreFlorian Tissime - il y a 8 ans
Ji sais que ci pas bien ... mi j'aimerai bien lui péter sa tronche quand même X3
Répondrea - il y a 8 ans
Combien de fois ce personnage a prononcé "Ok ? " depuis le début de la BD ?
RépondreMartin Feragotto - il y a 8 ans
Reconnaissance ? Il doit être reconnaissant de ne pas avoir été payé pendant des mois à cause de la combine monté avec Florent ?
RépondreAxelle Xela - il y a 8 ans
et lui vous doit encore plus avec tout l'argent qu'il s'est fait sur votre gueule... c*nnard !
RépondreStéfany Laouilfaut - il y a 8 ans
Ça y est, il va nous faire un avc 😂
RépondreHélène Tolden - il y a 8 ans
C'est drôle, mon ancienne patronne m'avait également dit que je devais tout à la boîte et que je n'apportais rien à l'entreprise. A se demander pourquoi je suis restée 6 ans et comment j'ai ramené de nouveaux clients!
RépondreMartin Feragotto - il y a 8 ans
Ah, encore une chose : quand on a commis un vol de propriété intellectuel (revoir tome 1) on n'exige pas de reconnaissance, à moins de vouloir s'expliquer devant un tribunal pour violation du droit d'auteur
RépondreFarmace Rhaiden - il y a 8 ans
Et sinon, mon idée d'aller secrètement engager des mexicains pour lui casser la gueule vous voulez toujours pas ? Non parce que... Comment dire...
RépondreWoofy - il y a 8 ans
Il est toujours stagiaire ?
RépondreParce que j'en connais qui se serait barrés sur place.
Laurel - il y a 8 ans
Aussi jeunes ? C'est rare, non ?
RépondreMoi j'ai attendu plus de 30 ans pour commencer à ne plus me laisser faire.
Parfois ça prend du temps, ça dépend de plein de choses, confiance en soi, éducation, exemples autour de soi, etc.
Seghia - il y a 7 ans
ça dépend de ce qu'on appelle "se barrer sur place". Avec mon "Joffrey", je suis partie du jour au lendemain, mais c'était une fuite car ce n'était plus supportable. Je n'appellerais pas ça "réussir à ne pas se laisser faire", parce que je pense que j'étais trop jeune pour y parvenir, tenir tête, mais bon, au moins ne plus avoir à supporter ce genre de propos. Que de bons souvenirs... Bon courage à Loïc pour la suite de la BD !
RépondreSuper Salade - il y a 7 ans
Oui, même aussi jeune. Il est stagiaire, il a quand même moins à perdre que vous. Moi, je ne sais pas ce que j'aurais fait à sa place, mais j'en connais un paquet qui se seraient barrés, oui, même stagiaires. Quant à toi, Laurel, c'est en effet une question d'éducation, de caractère etc... Et puis les femmes ne sont pas trop éduquées (par la société en général, pas nécessairement leur parents) à avoir confiance en elles professionnellement, et à se battre pour réussir (j'ai ce problème aussi)...
RépondreLaurel - il y a 7 ans
Oui, ça joue aussi, c'est possible.
RépondreLone Wolf - il y a 8 ans
Loïc a l'air blasé, mais d'une force...
RépondreLe gars y lutte plus. Il endure et il attend juste que ça finisse.
Manuela Rodrigues-Boittin - il y a 8 ans
Le grand seigneur a parlé... il lui faut reconnaissance et son dû !
RépondreÀ quand la demande de sacrifice en son nom ?
Max Lampin - il y a 8 ans
Fort avec les faibles.
RépondreFaible avec les forts.
Quel brave type ce Joffrey, on lui achèterait même une voiture d'occasion.
Jeanne Deaux - il y a 8 ans
Ah! Facile de s'en prendre au petit stagiaire hein! Connard.
RépondreThibault - il y a 8 ans
Je suis la BD depuis ses débuts, et je suis impressionné qu'à ce stade, cela continue encore et que ces sales types continuent ainsi. Heureusement, c'est bientôt fini !
Répondredjakk - il y a 8 ans
Qu'en pense M. l'investisseur potentiel ?
RépondreLaurel - il y a 8 ans
Il ne s'agissait pas d'un personnage important, Joffrey rencontre très régulièrement des gens dans le milieu de l'investissement ou du jeu vidéo. 🙂
Répondretotol - il y a 8 ans
Merci pour la bd, c'est super et la tension est super bien gérée.
RépondreJuste une idée sans raport avec la page du jour, as tu pensé à la possibilité de faire un coffret pour les deux tomes de de CC ? Je serai intéressé de pouvoir l'offrir en plus de commander le tome 2 pour moi même.
Laurel - il y a 8 ans
Merci ! Tu veux dire un coffret en carton qui engloberait les deux livres ? Il serait trop grand, je pense... ce n'est pas prévu, mais il y aura sans doute moyen d'acheter les tomes 1 et 2 lors d'un second Ulule, oui ! 🙂
RépondreMélissa Paix des Yetis - il y a 8 ans
Même sentiment que quand j'aperçois le roi Joffrey dans GOT.
RépondreJules des Miches - il y a 8 ans
Je serais toujours stupéfait que l'on puisse se laisser parler comme ça.
RépondreAnim★l - il y a 8 ans
Mucho typico, se défouler sur quelqu’un qui n’est pas en position de se défendre. Je me demandais ce que devenaient les petits cons qui brimaient les autres au collège... visiblement certains font du chemin.
RépondreBloub - il y a 8 ans
On peut l'acheter ??? :D
RépondreAuryn - il y a 8 ans
La vidéo donne vraiment envie de visiter SF... c'est si joli :)
RépondreNoname - il y a 8 ans
Il a vraiment ce tic de langage ? Ponctuer toutes ses phrases par un "ok", comme pour se rassurer lui même :D
RépondreMlix - il y a 8 ans
Haha Cerise commence à avoir l'accent anglais :P !!
RépondreMax - il y a 8 ans
Chaque fois que Joffrey réagit ainsi, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il sait très bien ce qu'il fait. Il ne se sentirait pas visé, sinon...
RépondreMatthieu - il y a 7 ans
Merci beaucoup pour cette vidéo sympa avec les commentaires qui vont bien :).
RépondreEn attendant le tome 2 !
Olivier - il y a 7 ans
RépondreCe qui est rare et précieux dans le travail de Laurel, à mon sens, est aussi ce qui peut choquer notre conception habituelle de la sociabilité (= capacité et façon de vivre en société, c'est-à-dire l'art de se supporter les uns les autres pour vivre ensemble). Il s'agit du fait (essentiel) qu'en général nous estimons que ce genre de conflits et de tensions plus ou moins aigüs qu'ont vécu Adrian et Laurel NE DOIVENT PAS ETRE RENDUS PUBLIQUES (sauf dans le cadre restreint et très codifié d'un procès judiciaire). Or, il faut bien comprendre (et nous le savons tous, si on creuse), que les individus du type de Joffrey dans la BD abusent de leurs talents manipulateurs (par désir d'emprise, jouissance du pouvoir, égotisme radical) en jouant sur le fait même que leurs "victimes" n'OSENT PAS EXTERIORISER PUBLIQUEMENT leur malaise ! Bref, pour faire simple, toute relation humaine est empreinte d'une épreuve de force, et il s'agit de trouver la balance la plus saine possible.
Sous cette angle, avec sa longueur feuilletonnesque et son faible décalage dans le temps avec les événements qui l'inspirent, la BD de Laurel est une brillante illustration d'un rapport de force mis à jour. Elle nous fascine autant qu'elle peut provoquer une certaine gêne, comme une querelle de couple en pleine rue, mais on voit bien que nous nous sentons tous concernés, que cette BD parle de nous également, et c'est pour cela, je crois, que les commentaires sont vécus aussi intimement, émotionnellement, intensément ; la "violence" au second degré qu'on y trouve parfois est compréhensible, car nous entrons dans le jeu, tout simplement, nous laissons (nous aussi) entrevoir publiquement que ces choses-là nous touchent parce que nous les avons plus ou moins directement vécues, déjà.
Certes, nous avons tous des personnalités diverses et variées, nous savons que nous n'aurions pas forcément réagi comme tel ou tel personnage dans telle situation, et parfois nous avons du mal à croire que quelqu'un puisse faire ou ne pas faire ceci ou cela. Mais "Comme convenu" nous touche car nous faisons tous dans notre vie l'expérience des rapports de force et des blessures qui en résultent, nous cherchons tous à en sortir avec le moins de casse possible.
Enfin voilà. Ce dont culturellement on n'ose en général pas parler, Laurel l'a fait publiquement, du mieux qu'elle le pouvait, pas sans éviter certains écueils, sans doute, nobody's perfect, mais elle l'a fait. Elle ne prétend pas à l'objectivité, elle n'affirme pas détenir la vérité sur les autres qu'elle, elle exprime simplement (et que c'est difficile, donc que c'est fort) ce qu'elle a ressenti et comment les autres lui sont apparus. Après, libre à nous de jeter métaphoriquement la pierre au Joffrey de papier ou de comprendre voire de justifier son management d'entreprise et/ou sa conception des rapports humains.
En tout cas, Laurel, chapeau et merci. A titre personnel, comme à titre professionnel, ta BD est un don précieux.
Ce qui est rare et précieux dans le travail de Laurel, à mon sens, est aussi ce qui peut choquer notre conception habituelle de la sociabilité (= capacité et façon de vivre en société, c'est-à-dire l'art de se supporter les uns les autres pour vivre ensemble). Il s'agit du fait (essentiel) qu'en général nous estimons que ce genre de conflits et de tensions plus ou moins aigüs qu'ont vécu Adrian et Laurel NE DOIVENT PAS ETRE RENDUS PUBLIQUES (sauf dans le cadre restreint et très codifié d'un procès judiciaire). Or, il faut bien comprendre (et nous le savons tous, si on creuse), que les individus du type de Joffrey dans la BD abusent de leurs talents manipulateurs (par désir d'emprise, jouissance du pouvoir, égotisme radical) en jouant sur le fait même que leurs "victimes" n'OSENT PAS EXTERIORISER PUBLIQUEMENT leur malaise ! Bref, pour faire simple, toute relation humaine est empreinte d'une épreuve de force, et il s'agit de trouver la balance la plus saine possible.
Sous cette angle, avec sa longueur feuilletonnesque et son faible décalage dans le temps avec les événements qui l'inspirent, la BD de Laurel est une fascinante illustration d'un rapport de force mis à jour. Elle nous fascine autant qu'elle peut provoquer une certaine gêne, comme une querelle de couple en pleine rue, mais on voit bien que nous nous sentons tous concernés, que cette BD parler de nous également, et c'est pour cela, je crois, que les commentaires sont vécus aussi intimement, émotionnellement, intensément ; la "violence" au second degré qu'on y trouve parfois est compréhensible, car nous entrons dans le jeu, tout simplement, nous laissons nous aussi entrevoir publiquement que ces choses-là nous touchent parce que nous les avons plus ou moins directement vécues, déjà.
Certes, nous avons tous des personnalités diverses et variées, nous savons que nous n'aurions pas forcément réagi comme tel ou tel personnage dans telle situation, et parfois nous avons du mal à croire que quelqu'un puisse faire ou ne pas faire ceci ou cela. Mais "Comme convenu" nous touche tous car nous faisons tous dans notre vie l'expérience des rapports de force et des blessures qui en résultent, nous cherchons tous à en sortir avec le moins de casse possible.
Ce qui est rare et précieux dans le travail de Laurel, à mon sens, est aussi ce qui peut choquer notre conception habituelle de la sociabilité (= capacité et façon de vivre en société, c'est-à-dire l'art de se supporter les uns les autres pour vivre ensemble). Il s'agit du fait (essentiel) qu'en général nous estimons que ce genre de conflits et de tensions plus ou moins aigüs qu'ont vécu Adrian et Laurel NE DOIVENT PAS ETRE RENDUS PUBLIQUES (sauf dans le cadre restreint et très codifié d'un procès judiciaire). Or, il faut bien comprendre (et nous le savons tous, si on creuse), que les individus du type de Joffrey dans la BD abusent de leurs talents manipulateurs (par désir d'emprise, jouissance du pouvoir, égotisme radical) en jouant sur le fait même que leurs "victimes" n'OSENT PAS EXTERIORISER PUBLIQUEMENT leur malaise ! Bref, pour faire simple, toute relation humaine est empreinte d'une épreuve de force, et il s'agit de trouver la balance la plus saine possible.
Sous cette angle, avec sa longueur feuilletonnesque et son faible décalage dans le temps avec les événements qui l'inspirent, la BD de Laurel est une brillante illustration d'un rapport de force mis à jour. Elle nous fascine autant qu'elle peut provoquer une certaine gêne, comme une querelle de couple en pleine rue, mais on voit bien que nous nous sentons tous concernés, que cette BD parle de nous également, et c'est pour cela, je crois, que les commentaires sont vécus aussi intimement, émotionnellement, intensément ; la "violence" au second degré qu'on y trouve parfois est compréhensible, car nous entrons dans le jeu, tout simplement, nous laissons (nous aussi) entrevoir publiquement que ces choses-là nous touchent parce que nous les avons plus ou moins directement vécues, déjà.
Certes, nous avons tous des personnalités diverses et variées, nous savons que nous n'aurions pas forcément réagi comme tel ou tel personnage dans telle situation, et parfois nous avons du mal à croire que quelqu'un puisse faire ou ne pas faire ceci ou cela. Mais "Comme convenu" nous touche car nous faisons tous dans notre vie l'expérience des rapports de force et des blessures qui en résultent, nous cherchons tous à en sortir avec le moins de casse possible.
Enfin voilà. Ce dont culturellement on n'ose en général pas parler, Laurel l'a fait publiquement, du mieux qu'elle le pouvait, pas sans éviter certains écueils, sans doute, nobody's perfect, mais elle l'a fait. Elle ne prétend pas à l'objectivité, elle n'affirme pas détenir la vérité sur les autres qu'elle, elle exprime simplement (et que c'est difficile, donc que c'est fort) ce qu'elle a ressenti et comment les autres lui sont apparus. Après, libre à nous de jeter métaphoriquement la pierre au Joffrey de papier ou de comprendre voire de justifier son management d'entreprise et/ou sa conception des rapports humains.
En tout cas, Laurel, chapeau et merci. A titre personnel, comme à titre professionnel, ta BD est une mine d'or !
Laurel - il y a 7 ans
Olivier > Il y a une petite erreur de manip de ta part, je crois, ton commentaire semble triplé (avec quelques menus changements). Je ne peux pas retoucher les coms directement, désolée, je suis obligée de le valider en entier. ☺️
RépondreMerci pour ta longue réaction ! 🙂
ND - il y a 7 ans
Je rejoins le commentaire de Olivier. Moi aussi je suis touché par la sincérité et la franchise quant à l'expression des ressentis. A titre personnel je dois beaucoup aux méthodes qui consistent à assumer honnêtement ce que l'on ressent, afin d'éviter d'être "taré" par le tout intellectuel, enfin je veux dire quand ce dernier occupe toute la place au point de ne plus se rendre compte que l'on fait du mal aux autres et à soi-même.
RépondreFinalement je suis admiratif. Bien qu'inquiet car extrêmement risqué, je reconnais que ce que tu as osé, Laurel, est très courageux et que bon nombre de nos compatriotes franchouillards ne comprendront jamais, mais peu importe. Ce qui compte à mon sens, c'est le vecteur vers une forme de bonheur, même s'il va à contre-courant, qu'importe! Tant que bonheur et joie/envie de vivre il y a c'est bien ce qui compte le plus, à plus forte raison si celà n'embête personne.
Les USA me font peur, c'est vrai (et la prochaine succession présidentielle américaine n'est pas pour me rassurer ça va de soi), mais il faut avoir l'honnêteté de dire et surtout ressentir que ce n'est pas une raison pour tirer à boulets rouges sur l'innovation ou l'espérance qu'une autre vision du monde ou société sont possibles, n'en déplaisent aux "bien-pensants" bloqués dans leurs petites habitudes franco-françaises (même si je suis un peu comme ça aussi, par la force des choses).
Encore bravo Laurel, je te souhaite de pouvoir continuer à mener à bien tout ce qui te tient à coeur sans que l'adversité ne t'atteigne, et tout en restant un brin sensible à la critique tant qu'elle est justifiée, afin de garder la juste dose d'humilité qui au final fait que l'on se rapproche du meilleur.
Et chouette la vidéo! ça m'a fait un très chouette interlude. J'ai adoré les passages de chansons françaises illustrant quelques images! 😍
Enfin, merci infiniment pour le partage de ton immense talent, ça donne des ailes parfois.🙂
A bientôt :-)
Olivier - il y a 7 ans
Oups, désolé ; c'était déjà un peu indigeste au départ, mais alors avec une triple dose ;-)) ! Merci de l'avoir passé tout de même et pardon à tous les lecteurs qui se seraient embarqués là-dedans.
RépondreWarren - il y a 7 ans
Mon papa est un pervers narcissique, ca fait 5 ans que j´ai coupe tout lien avec lui.
RépondreLe discours de Joffrey est EXACTEMENT celui de mon père, au mot pres, c+ est incroyable, juste de le lire ca m´a fait froid dans le dos, et ca m´a rappelé de très mauvais souvenirs. Ca, ce discours, cette BD, je peux attester que ca ne s´invente pas...
J´attends la suite avec impatience...!!
OLive - il y a 7 ans
Je viens de regarder la vidéo, super chouette ! Je n'ai pas vu passer les 6 minutes. Merci pour ce petit reportage !
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