La manière avec laquelle tu écris "le quelque chose en nous s'était cassé", on a l'impression qu'il y a plus que de la distance. Une forme de dégoût, de frein. Ca me rappelle quand j'ai continué à bosser sur mon jeu, non pas parce que j'y croyais encore, mais juste parce que je m'étais engagée, sans plus le goût, la volonté...
Attention, en première case, c'est s'il avait et non s'il aurait. Un ami qui vient de Metz fait souvent cette erreur, c'est un truc du coin ou juste une coïncidence ? :)
Sinon elle est bien tristoune cette planche, on ressent bien votre coté cassé à tous les deux :( J'ai hâte que tout ça s'éclaircisse !
La première partie de la phrase peut exister toute seule mais pas la deuxième, et c'est surtout qu'après le si il n'y a pratiquement jamais du conditionnel.
Pour plus de détails, plusieurs personnes en parlent sur la page FB: https://www.facebook.com/Comme.Convenu.BD/photos/a.1444938255826988.1073741828.1442819006038913/1749682065352604/?type=3&theater 🙂
Bonjour, je confirme, je suis correctrice et Laurel a raison. les propositions "s'il serait allé " et "s'il aurait continué" sont sur le même plan. On peut imaginer répéter "Je ne sais pas" dans la deuxième partie : "(Je ne sais pas) s'il aurait continué".
Wtf Emma ? Tu es un gros troll ou quoi ? C'est vraiment faire sa vieille peau ou être d'une mauvaise foi pas croyable de dire ça. Ou alors une bien trop grande susceptibilité.
"Tu es un gros troll ou quoi ?", "c'est vraiment faire sa vieille peau"... Ca va Bloub, la journée s'est bien passée ? On peut vous aider à vous détendre ?
Moi, au contraire, je trouve ça drôle de représenter des élèves en train de jouer en cours, ce qui prouve bien qu'ils ont une réelle motivation à jouer (ou une réelle démotivation à écouter le professeur mais ça, c'est une autre histoire). Il fallait bien représenter le public d'une manière ou d'une autre et cette façon de présenter les choses m'a fait sourire, plus que ne l'aurait fait une masse de gens penchée sur un téléphone.
Hello Laurel, Je passe sur le blog depuis le début de cette grande aventure (non d'ailleurs, j'étais déjà là avant ;o)), j'ai donc lu chaque page (d'ailleurs... il sort quand le tome 2 en version papier ? ;o) et je trouve que depuis quelques planches, il y a moins d'humour (il faut dire que ce que vous avez vécu - j'espère bien que ces galères font parties du passé) ne donne pas spécialement envie de s'amuser... mais tout de même, ça me semble plus "sombre", on était en mode "comédie dramatique" et là on est en "drame social"...suis-je le seul de cet avis ?
C'est affreux de voir à quel point vous avez courbé l'échine. Page après page c'est une souffrance de voir que vous avez tout pour leur voler dans les plumes, mais que vous avez préféré endurer.
On sait désormais que vous êtes à l'abri entre le succès du livre et votre nouveau poste, mais c'est réellement dur de constater l'enfer que vous avez vécu.
On a hâte de lire un dénouement à la hauteur des dégâts subis, mais j'ai bien l'impression qu'il ne sera pas aussi fort que souhaité...
Merci pour le lien qui nous dirige vers l'échange entre Gotlib et Christiane Favrat. Très intéressant ! La remarque de Christiane au sujet de la fameuse coccinelle m'a fait penser à Brume dans "Comme convenu". Merci pour tous les liens cachés en général, on tombe sur quelques perles comme celle-ci. Bonne continuation à toi Laurel ainsi qu'à Adrien, j'ai beaucoup de respect pour votre démarche, votre travail. Longue vie aux artistes, ce sont eux les vrais journalistes de notre quotidien.
Katchoum > Ah...je m'incline. Même en tant qu'adepte des liens sous images non sans rappeler les fameux "rien-à-voir" de l'époque pionnière, je n'ai au compteur que 11 ans et 10 mois de connaissance de ce blog (ou alors avais-tu presque 16 ans ?😌 Huhu, non je ne veux pas ouvrir la polémique ou la battle-longévité-de-suivi 😳).
Laurel > Mon premier comm. étoilé, merci merci merci ⭐️⭐️⭐️😻!!! Dis, je n'ai jamais vraiment su de quand date la première planche du 33 rue Carambole (la date de publication du Spirou correspondante en fait). Peux-tu m'aider ? Merci, j'adore les souvenirs comme ça :-)
Vu aussi ce beau document d'archive (merci Laurel pour le lien :) ) et...wahoo!...ça fait vachement du bien de voir que même si la société n'est pas tendre on peut quand-même trouver de la joie de vivre. Ce que j'ai beaucoup aimé, en plus du côté libertaire qu'inspirent les ressentis et paroles de Christiane Favrat, ce sont ses sourires quasi-permanents même pour parler de choses introspectives qui peuvent rendre triste de prime abord. J'ai l'impression qu'en 1973 il y avait aussi ce sentiment post-crise économique qui fait penser que tout fout le camp inexorablement sans que ça puisse repartir vraiment, un peu comme maintenant (sauf que maintenant il y a en plus les mémoires meurtries par les vagues d'attentats). Et voir la force du sourire, de l'espoir qui fait vivre même si ça suffit pas de rêver, et de rappeler que la nature et la vie sont des outils vitaux de liberté, alors que beaucoup de choses vont mal, ben oui, ça suscite énormément mon admiration.
La résilience couplée à la force du rêve je pense que c'est ça la vraie vie! 😃
Pareil, longue vie aux artistes, je leur fais mille fois plus confiance pour sortir de la sinistrose que ces nullards de politicos-de-mes-deux-abrutis-par-l-économie-et/ou-le-pouvoir.
J'ai trouvé ce qui me chiffonne avec cette planche, c'est le "cassé" qui ne passe pas. Je trouve au contraire que si les délires de Joffrey vous touchent moins, c'est que quelque chose s'est "construit". Positive attitude ! :-)
ça m'a interpelée aussi, le contraste entre "quelque chose de cassé" + l'ambiance tristoune de la dernière planche et d'autre part le positif de "ça nous touchait moins", "On n'avait plus peur". Mais finalement, je trouve ça intéressant : c'est un soulagement pour nous de voir que Laurel et Adrien n'ont plus peur, mais en même temps, c'est clair que l'équipe du départ n'existe définitivement plus, il n'y a plus ni respect ni estime ni confiance. C'est le début de la fin.
Je me demande si ce qui c'est cassé, ce ne serait pas leur envie. Leur envie et leur passion; de faire un jeu, de vivre en Amérique. Sans envie, sans objectif, on n'a rien à perdre et donc les risques qui pèsent sur nos projets n'ont plus autant d'importance. Mais un rêve qui se brise, c'est aussi une séparation et une souffrance.
Simone de Beauvoir :"Il est peu de vertus plus tristes que la résignation, elle transforme en fantasmes, rêveries contingentes, des projets qui s'étaient d'abord constitués comme volonté et comme liberté."
Je trouve que « cassé » correspond bien. J'ai eu un vécu similaire, plusieurs fois. Cette dernière étape de perte de confiance dans les autres provoque une rupture dans le projet. Du fait qu'il n'y ait plus d'espoir dans l'avenir de celui-ci, même cela reste notre projet et que nous nous donnons à fond tous les jours, résulte un détachement jusqu'à la conclusion du partenariat, ou de l'entreprise. Pas vraiment une fuite en avant. Les émotions s'accumulent dans leur coin, et sans soupape cela paut donner des fins surprenantes.
Bympus PM - il y a 8 ans
Ohhh...
RépondreBympus PM - il y a 8 ans
Ça sent la fin de l'entreprise tout ça, non ?
RépondreNekky Makko - il y a 8 ans
ça sent le "f### you, i'm leaving!!!"....
RépondreJuu Mushu - il y a 8 ans
Alleeeeeer ! La carte veeeerte ><
RépondreAdeline Lothindil Duterre - il y a 8 ans
La manière avec laquelle tu écris "le quelque chose en nous s'était cassé", on a l'impression qu'il y a plus que de la distance. Une forme de dégoût, de frein. Ca me rappelle quand j'ai continué à bosser sur mon jeu, non pas parce que j'y croyais encore, mais juste parce que je m'étais engagée, sans plus le goût, la volonté...
RépondreLola Mdg - il y a 8 ans
S'il aurait ou s'il avait ? C'est hors propos avec l'histoire mais j'ai un énorme doute.
RépondreAëlle - il y a 8 ans
J'ai eu un doute aussi, mais il me semble qu'on peut dire s'il aurait (le si indique une interrogation et non une condition).
RépondreAudrey - il y a 8 ans
:-( comme un deuil de boulax qui se fait en vous. c'est triste.
RépondreMorémuse - il y a 8 ans
Le dénouement approche...
RépondreSylvain Durand - il y a 8 ans
S'il avait* non ?
RépondreAëlle - il y a 8 ans
Cette BD est toujours aussi passionnante, et j'espère que la conclusion est heureuse malgré tout ! (vous le méritez bien).
RépondreSteve Requin - il y a 8 ans
Talking shit! :D Cette image a tellement de potentiel.
Répondreblou - il y a 8 ans
Attention, en première case, c'est s'il avait et non s'il aurait.
RépondreUn ami qui vient de Metz fait souvent cette erreur, c'est un truc du coin ou juste une coïncidence ? :)
Sinon elle est bien tristoune cette planche, on ressent bien votre coté cassé à tous les deux :( J'ai hâte que tout ça s'éclaircisse !
Laurel - il y a 8 ans
Non, il n'y a pas d'erreur, c'est une phrase en deux parties distinctes.
Répondreblou - il y a 8 ans
La première partie de la phrase peut exister toute seule mais pas la deuxième, et c'est surtout qu'après le si il n'y a pratiquement jamais du conditionnel.
RépondreLaurel - il y a 8 ans
Pour plus de détails, plusieurs personnes en parlent sur la page FB: https://www.facebook.com/Comme.Convenu.BD/photos/a.1444938255826988.1073741828.1442819006038913/1749682065352604/?type=3&theater 🙂
Répondreblou - il y a 8 ans
Ah ok! J'avais mal compris la phrase en fait, pardon d'avoir insisté.
RépondreLaurel - il y a 8 ans
Pas de souci, merci d'avoir réagi !
RépondreSophieV - il y a 8 ans
Bonjour, je confirme, je suis correctrice et Laurel a raison. les propositions "s'il serait allé " et "s'il aurait continué" sont sur le même plan. On peut imaginer répéter "Je ne sais pas" dans la deuxième partie : "(Je ne sais pas) s'il aurait continué".
RépondreMarion Xenia Valers - il y a 8 ans
La force en vous est grande!
RépondreEmma - il y a 8 ans
Je trouve un peu dommage dans cette note que tu réduises ici ton public à deux jeunes hommes acnéiques très clichés (teeshirt nike/pokémon)
RépondreBloub - il y a 8 ans
Wtf Emma ? Tu es un gros troll ou quoi ? C'est vraiment faire sa vieille peau ou être d'une mauvaise foi pas croyable de dire ça. Ou alors une bien trop grande susceptibilité.
RépondreMarie - il y a 8 ans
"Tu es un gros troll ou quoi ?", "c'est vraiment faire sa vieille peau"... Ca va Bloub, la journée s'est bien passée ? On peut vous aider à vous détendre ?
RépondreEniram - il y a 8 ans
Moi, au contraire, je trouve ça drôle de représenter des élèves en train de jouer en cours, ce qui prouve bien qu'ils ont une réelle motivation à jouer (ou une réelle démotivation à écouter le professeur mais ça, c'est une autre histoire). Il fallait bien représenter le public d'une manière ou d'une autre et cette façon de présenter les choses m'a fait sourire, plus que ne l'aurait fait une masse de gens penchée sur un téléphone.
RépondreCaribou à poils longs - il y a 8 ans
Hello Laurel,
RépondreJe passe sur le blog depuis le début de cette grande aventure (non d'ailleurs, j'étais déjà là avant ;o)), j'ai donc lu chaque page (d'ailleurs... il sort quand le tome 2 en version papier ? ;o) et je trouve que depuis quelques planches, il y a moins d'humour (il faut dire que ce que vous avez vécu - j'espère bien que ces galères font parties du passé) ne donne pas spécialement envie de s'amuser... mais tout de même, ça me semble plus "sombre", on était en mode "comédie dramatique" et là on est en "drame social"...suis-je le seul de cet avis ?
BanditManchot - il y a 8 ans
C'est affreux de voir à quel point vous avez courbé l'échine. Page après page c'est une souffrance de voir que vous avez tout pour leur voler dans les plumes, mais que vous avez préféré endurer.
RépondreOn sait désormais que vous êtes à l'abri entre le succès du livre et votre nouveau poste, mais c'est réellement dur de constater l'enfer que vous avez vécu.
On a hâte de lire un dénouement à la hauteur des dégâts subis, mais j'ai bien l'impression qu'il ne sera pas aussi fort que souhaité...
Katchoum - il y a 8 ans
Merci pour le lien qui nous dirige vers l'échange entre Gotlib et Christiane Favrat.
RépondreTrès intéressant ! La remarque de Christiane au sujet de la fameuse coccinelle m'a fait penser à Brume dans "Comme convenu".
Merci pour tous les liens cachés en général, on tombe sur quelques perles comme celle-ci.
Bonne continuation à toi Laurel ainsi qu'à Adrien, j'ai beaucoup de respect pour votre démarche, votre travail. Longue vie aux artistes, ce sont eux les vrais journalistes de notre quotidien.
Laurel - il y a 8 ans
Merci ! ☺️
RépondreAh je suis contente que des personnes cliquent sur les planches ! 😃
Katchoum - il y a 8 ans
Hehe je suis ce blog bédé depuis mes 15 ans, j'en ai aujourd'hui 27, alors j'en ai vu des liens cachés !! ^^
RépondreLaurel - il y a 8 ans
Katchoum > waw, pratiquement depuis le début alors ! 😳
RépondreND - il y a 8 ans
Katchoum > Ah...je m'incline. Même en tant qu'adepte des liens sous images non sans rappeler les fameux "rien-à-voir" de l'époque pionnière, je n'ai au compteur que 11 ans et 10 mois de connaissance de ce blog (ou alors avais-tu presque 16 ans ?😌 Huhu, non je ne veux pas ouvrir la polémique ou la battle-longévité-de-suivi 😳).
RépondreLaurel > Mon premier comm. étoilé, merci merci merci ⭐️⭐️⭐️😻!!! Dis, je n'ai jamais vraiment su de quand date la première planche du 33 rue Carambole (la date de publication du Spirou correspondante en fait). Peux-tu m'aider ?
Merci, j'adore les souvenirs comme ça :-)
Laurel - il y a 8 ans
ND > Oh, je viens de voir que quelqu'un a fait une page sur Wikipédia sur cette rubrique ! 😳
RépondreDu coup il y a la date, c'était le 5 mai 2004. 😃
ND - il y a 8 ans
OK et encore merci! ^^
RépondreND - il y a 8 ans
Vu aussi ce beau document d'archive (merci Laurel pour le lien :) ) et...wahoo!...ça fait vachement du bien de voir que même si la société n'est pas tendre on peut quand-même trouver de la joie de vivre. Ce que j'ai beaucoup aimé, en plus du côté libertaire qu'inspirent les ressentis et paroles de Christiane Favrat, ce sont ses sourires quasi-permanents même pour parler de choses introspectives qui peuvent rendre triste de prime abord. J'ai l'impression qu'en 1973 il y avait aussi ce sentiment post-crise économique qui fait penser que tout fout le camp inexorablement sans que ça puisse repartir vraiment, un peu comme maintenant (sauf que maintenant il y a en plus les mémoires meurtries par les vagues d'attentats). Et voir la force du sourire, de l'espoir qui fait vivre même si ça suffit pas de rêver, et de rappeler que la nature et la vie sont des outils vitaux de liberté, alors que beaucoup de choses vont mal, ben oui, ça suscite énormément mon admiration.
RépondreLa résilience couplée à la force du rêve je pense que c'est ça la vraie vie! 😃
Pareil, longue vie aux artistes, je leur fais mille fois plus confiance pour sortir de la sinistrose que ces nullards de politicos-de-mes-deux-abrutis-par-l-économie-et/ou-le-pouvoir.
Max Lampin - il y a 8 ans
J'ai trouvé ce qui me chiffonne avec cette planche, c'est le "cassé" qui ne passe pas.
RépondreJe trouve au contraire que si les délires de Joffrey vous touchent moins, c'est que quelque chose s'est "construit".
Positive attitude ! :-)
Laurel - il y a 8 ans
Ah oui !
RépondreFirenze - il y a 8 ans
ça m'a interpelée aussi, le contraste entre "quelque chose de cassé" + l'ambiance tristoune de la dernière planche et d'autre part le positif de "ça nous touchait moins", "On n'avait plus peur". Mais finalement, je trouve ça intéressant : c'est un soulagement pour nous de voir que Laurel et Adrien n'ont plus peur, mais en même temps, c'est clair que l'équipe du départ n'existe définitivement plus, il n'y a plus ni respect ni estime ni confiance. C'est le début de la fin.
RépondreKINchan - il y a 8 ans
Je me demande si ce qui c'est cassé, ce ne serait pas leur envie. Leur envie et leur passion; de faire un jeu, de vivre en Amérique. Sans envie, sans objectif, on n'a rien à perdre et donc les risques qui pèsent sur nos projets n'ont plus autant d'importance. Mais un rêve qui se brise, c'est aussi une séparation et une souffrance.
RépondreAudrey Ayassami - il y a 8 ans
J'ai une chose à dire à Luc et Joffrey : https://www.youtube.com/watch?v=TKMTpj3K27s
RépondreNelly BE - il y a 8 ans
Simone de Beauvoir :"Il est peu de vertus plus tristes que la résignation, elle transforme en fantasmes, rêveries contingentes, des projets qui s'étaient d'abord constitués comme volonté et comme liberté."
RépondreEncolpe - il y a 8 ans
Bonjour,
RépondreJe trouve que « cassé » correspond bien. J'ai eu un vécu similaire, plusieurs fois. Cette dernière étape de perte de confiance dans les autres provoque une rupture dans le projet. Du fait qu'il n'y ait plus d'espoir dans l'avenir de celui-ci, même cela reste notre projet et que nous nous donnons à fond tous les jours, résulte un détachement jusqu'à la conclusion du partenariat, ou de l'entreprise. Pas vraiment une fuite en avant. Les émotions s'accumulent dans leur coin, et sans soupape cela paut donner des fins surprenantes.
Encolpe
Laurel - il y a 8 ans
Merci. J'espère que ça s'est arrangé depuis !
RépondreEncolpe - il y a 8 ans
Nouveau boulot en janvier. Plus en startup.
RépondreBloub - il y a 7 ans
"Je ne sais si Joffrey pensait aller jusqu'au de son blocage. En aurait-il été capable ?"
RépondreSi tu préfères ;)